lundi 13 novembre 2017

Bataclan 2017

Très réticent à ramener ma fraise sur la commémoration de la tragédie du Bataclan ainsi qu'on la nomme pour désigner l'attaque islamiste des terrasses de café et du music hall éponyme le 13 novembre 2015, je succombe néanmoins à une sourde colère au spectacle d'une "compréhension" des causes, qui va jusqu'à laisser dire à une journaliste de Mediapart que "l'islamisme n'est pas un phénomène grave".

Au plan des statistiques froides, c'est vrai, la route tue plus que l'islamisme. Mais la lutte contre le carnage routier est incessante et s'accompagne de mesures de plus en plus sévères ou contraignantes comme le nouveau contrôle technique de 2018 ou la multiplication des radars fixes non signalés et des radars embarqués. A dire vrai, la lutte contre l'islamisme radical (paraît-il que l'intégrisme n'en fait pas partie) me semble vraiment cool et n'atteint que les cons ! C'est d'ailleurs cette indicible connerie qui nous sauve ; seraient-ils intelligents qu'ils nous dévasteraient. On ne va pas expliquer ce point ici, évidemment !!! Le film anglais Four Lions a tout dit en son temps (2010).

Des structures d'intelligence richement dotées sur fonds publics réfléchissent aux causes et conséquences de ces évènements, et pour ce qu'en donnent les rapports qu'elles diffusent, il s'agit plus entre elles d'un concours de compilations que de recherche des remèdes. On les appelle "think tank" mais où est le "think" dans tout ça.
On ne se trompe pas si on énonce une seule vérité qui écrase toutes les autres : la haine de nous. Ces gens recuisent dans leur cœur une haine de nous, Français et occidentaux, depuis l'enfance parfois comme l'a démontré le procès d'Abdelkader Merah. Tout le reste en découle mais c'est bien cette haine incandescente la source originelle de leurs abominations.

L'islamo-gauchisme français a bien détecté cette source mais pense y remédier en nous faisant aimer d'eux. C'est puéril ou naïf. La haine recuite ne s'étanche jamais ! Inutile de les "comprendre", eux ne le veulent même pas et resteront sourds à nos explications, faveurs, repentirs, bougies et peluches ! Bizarrement ce sont les femmes nées en milieu musulman qui ont compris la niaiserie de l'islamo-gauchisme et je suis heureux de ne pouvoir les citer toutes tant elles deviennent nombreuses, à l'exception de Wafa Sultan qui la première à ma connaissance, avait parfaitement décortiqué dès 2009 la morbidité de l'islam dans son fameux A God Who Hates.

Si j'avais la recette pour venir à bout de la haine islamiste à notre endroit, je la vendrais et serais riche. A défaut, il y a quand même des précautions simples qui n'exigent pas de réviser la constitution ni de promulger des lois tapageuses (donc aucune gloire politique, hélas) :
- Ne pas naturaliser des gens qui n'ont pas démontré leur respect du pays ;
(donc pas de naturalisation sans casier vierge (jamais chargé) et avis motivé de la DGSI)
- Déchoir de leur nationalité les combattants français de groupements armés hostiles (art. 25 du Code civil à lire ici). Contourner le risque d'apatridie en créant une nationalité exotique comme on le fait des pavillons de complaisance ; les Kerguelen c'est bien !
- Lutter intelligemment contre les discours de haine qui sont le fonds de commerce de certaines associations comme le PIR, mais il y en a beaucoup d'autres non déclarées. J'ai la recette mais je ne la donne pas !!!
- Rendre la vie impossible aux semeurs de haine en les poussant à l'expatriation, comme l'a pratiquée l'Algérie avec succès après le putsch de 1991. Renseignez-vous, moi je sais déjà !
- Muscler encore plus le renseignement avec les pays originels qui partagent le même intérêt que nous dans l'éradication des malfaisants.

Cela fait-il "intellectuel" de rajouter qu'il serait temps que l'institution judiciaire prenne la mesure du désastre social auquel aboutit l'absence politique de toute gestion de la haine ? Alors je le dis. La Justice porte un lourde responsabilité dans le mépris que manifestent certains groupes délinquants à l'endroit des services publics dont profitent leurs familles.

D'aucuns diront que ce blogue ne manie que la répression et ignore la prévention. Oui, aujourd'hui, 13 novembre ! Au Bataclan, tandis que la Préfecture de Police peinait à réunir en plein Paris des moyens lourds (voir le rapport Fenech à partir de la page 53), les enfants perdus de la république éventraient, étripaient, émasculaient, énucléaient, égorgeaient les blessés au nom d'un Dieu qui les vomit sans doute. Mais cela il n'est bon ni de dire ni de voir ! On va demander des explications aux think-tanks. Les âmes des victimes reposent-elles en paix ? J'en doute !


le massacre enfoui

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