La première démarche qui est demandée à chacun d'entre nous est de répondre au questionnaire qu'ils ont mis en ligne et auquel on accède par la bannière ci-dessous.
Choisissez un pseudonyme et la CMI vous envoie un mot de passe dans la boîte e-mail de votre choix. Attendez dix minutes que le logiciel vous reconnaisse et cochez vos réponses dans le questionnaire. Vous pouvez aussi donner vos commentaires ou vos idées sur cette démarche et sur le rassemblement des royalistes ; ne vous en privez pas... le moulinage des réponses est complètement anonyme puisque déconnecté des identifiants.
Reste que les Assises ne vaudront que par les résultats produits, aussi veulent-ils privilégier le plus grand pragmatisme, ce dont on peut les féliciter tant l'efficacité est exotique au Roycoland.
Voici le mot de présentation du secrétaire général Roussillon :
Les Premières Assises du Royalisme Français ne sont pas le bébé d’un mouvement ou d’un autre, elles ne sont pas organisées par un mouvement ou un autre, elles ne sont pas dirigées contre un mouvement ou un autre…
Nous souhaitons associer à cette initiative les royalistes indépendants, inorganisés qui, nous en sommes convaincus, sont nombreux et ont aussi des choses à exprimer. Nous avons pris la peine d’avertir de la tenue de ces Assises l’ensemble des mouvements, groupes et organisations qui nous semblent représentatifs du royalisme français, car nous sommes aussi soucieux de lire leurs contributions. Nous tenons à toucher aussi bien les intellectuels que les opérationnels, aussi bien les anciens que les jeunes, aussi bien les mouvements que la diaspora…
Il y a en effet urgence, non pas à refonder quoi que ce soit, mais bien à clarifier ce qu’est le royalisme aujourd’hui pour savoir ce qu’il sera demain.
Parviendrons-nous demain à endiguer notre lent déclin en posant les bonnes questions et en apportant des réponses ? Demeurerons-nous demain dans le champ de l’action politique ? Ou glisserons nous, toujours un peu plus, sur la pente de la nostalgie historique ? Le royalisme sera t-il encore demain une force de proposition et d’action politique ou est-il condamné à une lente fossilisation ?
Les objectifs de ces Assises sont ouverts.
C’est pour cela que les organisateurs des Assises ont jugé qu’il était important que la voix du peuple royaliste soit tout autant entendue et écoutée que celle des mouvements, associations et groupes.
Si vous avez des avis à donner, des suggestions à faire au sujet des prochaines Assises du Royalisme Français, merci de remplir le questionnaire anonyme que nous mettons à votre disposition.
Sauf à répondre positivement à l'appel de la CMI, il y a peu de choses à rajouter. Enfin..., que la dispersion actuelle pour ne pas dire le désordre qui menace ce genre d'initiative, naît d'abord de la contemption réciproque des princes. C'est cette lutte pour le pavois qui fait le lit des divergences que nous connaissons chez nous, manants et gueux de la Cause, convoqués aux louanges, aux révérences, puis renvoyés d'un haussement de sourcils à nos vaines études, autocs et tracts, blogues et vidéos, flambeaux qui marchent. L'interpellation est taboue, ce qui m'incite évidemment à la faire.
Si des circonstances heureuses renouvelaient un jour la possibilité de retour du roi comme le pays la rencontra pour la dernière fois en 1873, l'échec éventuel, s'il nous était imputable à nouveau devant l'Histoire, conduirait à en rechercher les causes, non peut-être chez les d'Haussonville ou Decazes d'aujourd'hui, mais à la racine du problème, pour une bonne fois, le résoudre.
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Merci pour ce billet Catoneo.
RépondreSupprimerUne remarque... Si la CMI est bien entendu interpelée par ce projet français d'Assises, c'est avant tout parce que ses dirigeants exécutifs - en tant que Français - sont impliqués dans sa réalisation. Hormis ce fait et à part pour diffuser l'information via ses propres canaux, la CMI n'a pas voix au chapitre puisqu'elle ne se mêle pas des affaires nationales.
En revanche, elle se mettra en branle à son tour sans aucun doute pour permettre aux autres pays d'utiliser cet outil préliminaire - ce baromètre perpétuel de l'état du royalisme - développé par SYLM.
C'est tout l'intérêt de la chose... et si les mouvements français, par exemple, avaient pu profiter des outils développés par les royalistes d'autres pays, je doute qu'ils eussent refusé.
Dernier point: SYLM a imaginé et créé cette "enquête publique" qui est une première et SYLM apportera toute ses compétences à la réalisation des Assises - qu'elles soient physiques ou virtuelles - mais SYLM ou la CMI ne sont que des outils... ceux qui organisent les Assises ce sont tous les royalistes qui répondront au questionnaire et qui ainsi permettront que les bonnes questions soient enfin posées.
Le principe est ici très démocratique... mais après tout, il ne s'agit pas d'élire qui que ce soit et je connais peu de petites gens royalistes qui bouderont l'occasion de faire enfin entendre leur voix.
Un grand merci encore pour ton implication.
Amitiés à tous,
Zarma
Je n'avais pas adhéré à la CMI car je ne comprenais pas l'utilité de fédérer internationalement des énergies qui par nature n'ont qu'une portée nationale.
RépondreSupprimerPar ailleurs, sans porter de jugement, à une initiative que je ne connais pas, je voudrais remarquer qu'il semble exister une confusion entre ces appellations de "monarchiste" et de "royaliste" On peut être l'un sans être l'autre...
... Mais on ne peut pas être l'autre sans être l'un.
RépondreSupprimerLe questionnaire est de nouveau opérationnel… merci de votre patience.
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