L'archevêque Viganò Ras la mitre, ce pape est un bouffon ! C'est en ces quelques mots qu'on peut résumer le cri de colère de l'archevêque lombard Carlo Maria Viganò. Mais déjà la presse catholique progressiste voit dans les accusations du nonce émérite contre Sa Sainteté François dans le scandale McCarrick un complot conservateur visant à briser le réformisme du pape argentin. A ses yeux, les réseaux homosexuels, les réseaux pédophiles, les nombreux crimes et péchés individuels sont affaires courantes et parfois anciennes qu'il faut traiter en temps et heure, dans la honte, la pénitence, la prière et tout le diable son train, peut-être même en déférant, contraint et forcé, les délinquants à la Justice du territoire ayant abrité ces "horreurs", à défaut, les couvrir jusqu'au bout pour sauver le bizness. Et les chargés de propagande de la presse mainstream de dénigrer déjà le lanceur d'alerte comme un prélat cupide et ambitieux. L'exclamat