En quelques lignes, j'ai compris Louis de Bourbon et m'en voilà rasséréné. Comme beaucoup de royalistes de France, je cachais mes doutes pour ne point affaiblir une cause pas si vaillante déjà. Si je n'en avais aucun quant à son intérêt pour les affaires françaises - même si j'avais conçu que ses activités prenantes puissent l'en distraire souvent - je me demandais si le "beau gosse", fan de polo et de régates, ne serait pas phagocyté par la jetset depuis qu'il avait épousé la fortune. Il n'aime pas le "jet", c'est un bon début. Et puis il y avait cette lutte intime du timide ouvrant son coeur, serré dans la tunique rouge de bailli grand croix. Fini tout ça ! Fini les rédactions préventives. Les hésitations participaient d'un chantier personnel en cours de construction. Il semble achevé dans la maturité des convictions d'un prince à l'heure de son époque et bien dans sa peau, à l'insu des dresseurs de l'ancien tem