La vieille locomotive française de l'Union arrive à court de houille. Les gentilles moqueries du président Medvedev mimant le bonneteau du camelot Sarkozy sont partagées par le grand frère allemand qui vient de nous "envoyer chier" sur la relance européenne. Chacun de nos partenaires en a sa claque de recevoir des leçons de maintien de la part d'une République française gérée par des gitans et distribuant généreusement les concours communs à compte d'autrui. L'insolent Jean-Gilles Malliarakis relève la déclaration agacée du ministre fédéral des finances qui pointe sans ambages la gabegie sarkozienne : « Conformément aux directives de l'Union européenne, l'Allemagne a accompli de lourds efforts pour assainir son budget. Et parce que nous avons enregistré un certain succès, nous devrions maintenant jouer le rôle de payeurs en chef ! » ... (Peer Steinbrück devant le groupe SPD du Bundestag le 25 courant) Les argentiers disposant de finances ont lâché la