Sarko est mort. Je ne sais qui l'a tué, de la Rolex ou du vulgaire, mais le camelot de trottoir qui ouvre devant le grand magasin son parapluie de cravates, n'arrête plus personne. Passe le passant sans tourner la tête ; même au mégaphone il ne percute plus. Histrion démocratique de la trempe d'un Berlusconi mais sans les sous du cavaliere, le jadis président de la République n'est que l'hôte encombrant d'un palais dont on va chercher à s'enfuir pour éviter les stigmates. Les deux années restantes seront une sorte d'agonie. Les députés bientôt sortants donc inquiets ont donné le la , les traîtres au Centre en tête, qui cherchent à désolidariser leur propre image de celle très abîmée du pouvoir parisien. Sarkozy c'est le plomb dans l'aile, le catalyseur à mécontents, mais d'un côté aussi, le bouc émissaire inespéré pour une assemblée de godillots qui lui passa tous ses caprices pendant trois ans. Croyant rameuter des catégories d'électeurs
Royal⚔Artillerie - blog monarchiste