Le 13 janvier dernier fut la journée atomique du parti politique royaliste. Patrick de Villenoisy, candidat à la présidentielle de l'Alliance royale, est allé voir la centrale d'Avoine implantée au coeur du parc naturel régional de Loire-Anjou-Touraine. La centrale nucléaire dite de Chinon rassemble les développements successifs de la filière française, depuis le premier réacteur historique de la technologie graphite-gaz transformé en musée, jusqu'au quatre gros réacteurs à eau pressurisée qui débitent 900MW chacun et allument la moitié nord-ouest de la France. La question nucléaire n'est pas un enjeu sociétal mais vital, encore moins un conte de sorcières. Il était urgent que le parti royaliste, génétiquement écologiste, prenne une position claire dans le débat stratégique en termes de sûreté des approvisionnements énergétiques après les doutes qui ont surgi par tout l'Occident à l'annonce de la fonte des réacteurs de Fukushima. Le coup de pouce donné aux