Tout royaliste est quelque part un chevalier. On lui reproche souvent de combattre des dragons de son imagination ou de chevaucher des licornes alors que le monde réel semble moins l'intéresser. Et pourtant, ils sont nombreux parmi nous ceux qui aux heures ouvrables ont fait une croix sur les chimères et autres monstres de grimoires, libre à eux de rêver aux princesses esseulées quand se lève la lune. Mais jusque là et s'ils militent, ils sont soumis à la réalité de ce bas monde.
Notre société si imparfaite soit-elle doit être prise à bras le corps dans sa totalité si l'on veut aboutir un jour à faire revenir un roi à la tête de ce pays, parce que le roi sera celui de tous.
Aussi est-il à mon sens inutile de convoquer son champion aux lices sarrasines pour qu'il explose les armées du Prophète avec Excalibur, les chargeant sur Pégase ! Le pays s'est beaucoup modifié en quarante ans, et si on peut légitimement exiger un coup d'arrêt nous évitant de rejoindre la Ouma, il est vain de croire au retour des caractéristiques démographiques antérieures. Faudra faire avec !
...
Restons dans le concret du pays réel. Evitons les tribuns de préaux qui nous promettent la croisade, comme les enfants d'Astérix qui nous poussent vers le camp des Saints. Dans cette lutte pour la souveraineté et l'identité nous nous sommes mis dans un coin ; il faut s'en extraire car nous avons vocation à être de tous les partis, au-dessus d'eux mais sans le dire, et à inventer l'identité voire les identités des Français du XXI° siècle.
Commençons par être nous-mêmes en pleine cohérence, non seulement pour nous comprendre entre nous mais surtout pour éviter plus tard les casseroles, quand nous émergerons au grand jour médiatique. Etre soi-même c'est d'abord refuser le mimétisme, le faux-semblant, le toc, et sans doute remettre en cause le fameux "compromis nationaliste" qui a viré au prétexte pour nous déguiser en nervis du dojo et faire le service d'ordre de manifestations oecuméniques. Etre soi-même c'est d'abord défendre les valeurs intrinsèques de la monarchie en les clarifiant pour mieux les banaliser, sans qu'il soit nécessaire d'attraper au passage toutes les causes apparentées à notre combat, même si nous les soutenons à côté de notre engagement royaliste. Cohérents, nous devons connaître l'offre politique en cours et infuser la monarchie au goutte-à-goutte dans toutes les strates et compartiments sociaux, vendant cette merveilleuse construction institutionnelle même chez les Maures qui ne seront pas les derniers à nous rejoindre, à la surprise de beaucoup.
Le droit du prince naît du besoin du peuple, de tout le peuple, ce qui doit être martelé au sein même de nos organisations qui ont parfois une fâcheuse tendance rhétorique à l'aristocratie et à la distance. Ce peuple, ces peuples doivent être compris avant que d'être guidés vers des valeurs sociales rénovées et garanties dans un schéma institutionnel de libertés. Ainsi chaque analyse politique passe par le carrefour de la démocratie. Les royalistes sont démocrates, obligatoirement ! Les "libertés en bas" impliquent le foisonnement démocratique à tous les étages de la conscience citoyenne ; l'Anarchie plus Un, dit-on pour rire. Ceux qui ne comprennent pas cette exigence première du royaume doivent s'inscrire à des partis bottés et dégager le champ militant royaliste. Ils l'encombrent.
On votait beaucoup sous l'Ancien régime dans une imbrication de pouvoirs foisonnants que nous appellerions aujourd'hui un vrai b.... Ce n'est qu'à partir du niveau des parlements que l'on ressentait une certaine cohésion programmatique, insuflée par des ministres supérieurement intelligents. La remise en bon ordre, l'outrance de privilèges désuets et le souci d'équité tardèrent, trop. Le caporalisme révolutionnaire puis bonapartiste a balayé le gentil désordre en simplifiant sa tâche par l'égalitarisme forcené et tout le monde fut finalement immatriculé, sans espoir de retour au b... ! On parle de nous pucer et de ficher nos humeurs en séquences numériques !
Bien sûr nous ne reviendrons pas à la diversité précédente que nos citoyens refusent, mais établissons les bases d'une vraie démocratie sincère et équitable, en bridant les appétits des professionnels de la "représentation" qui s'y reproduisent et mangent sur la Bête du berceau à la tombe. Le projet de l'Alliance Royale que nous avons développé dans ce blogue lors de la campagne présidentielle d'Yves-Marie Adeline est une base solide pour une démocratie représentative proche du pays réel. La question des collèges électoraux et l'articulation entre les hémicycles nationaux et régionaux sont à creuser sérieusement.
Il n'en reste pas moins que les pouvoirs de l'étage régalien doivent être préservés du sain(t) désordre démocratique et exécutés dans la durée et l'expertise requises par un environnement international de plus en plus technique et complexe. C'est déjà un peu le cas dans la République d'aujourd'hui où la diplomatie et la guerre dépendent de l'Elysée. Tout démontre que ce domaine réservé va s'accroître dans l'avenir, surtout quand on voit le rallye actuel de la classe politique vers les commissions de réflexions déconnectées des structures partisannes classiques. Lorsque les Jack Lang, Claude Allègre et autre Régis Debray ou Jacques Attali auront rejoint les cabinets du domaine réservé, nous serons au seuil de l'extraction des pouvoirs régaliens du champ démocratique populaire. Nous aurons donc avancé sur notre axe. Acceptons-en au moins l'augure !
Dans ce contexte, chacun comprend que soumettre au suffrage universel les questions diplomatiques est relativement osé sinon scabreux. Si le choix de les poser à tous flatte chaque électeur en lui laissant croire à son pouvoir de discernement, l'opinion commence aussi à se sentir le jouet de factions politiques préoccupées d'en découdre bien avant que de s'inquiéter du bonheur du souverain peuple. L'affaire du traité constitutionnel est exemplaire. Quand Tony Blair décida de soumettre la mouture giscardienne au référendum, notre grand couillon sympa se sentit obligé de n'en pas faire moins. Sauf que le premier avançait une carte diplomatique à effet-retard alors que notre président s'enfonçait dans une procédure réelle de démocratie directe avec un score impressionnant et préalable de mécontents et un premier ministre aussi nul qu'infatué. La bataille des éléphants socialistes d'un côté, les rancoeurs gaullistes historiques de l'autre, la roupétance nationaliste là, l'exaltation d'une république bonapartiste ici, l'imposture libérale du Medef, et les caricatures danoises de Mahomet, tout concourut à la réunion d'une moitié de peuple de bric et de broc plus quelques-uns pour dire NON ! Et la règle du jeu voulant que la quantité soit la raison en démocratie, on inscrivit dans le marbre le refus de l'Europe, pas moins !
Cette question institutionnelle ressortit exactement au domaine régalien. Même si beaucoup plus d'électeurs qu'on ne croit ont pris la peine de lire les textes au lieu de s'en remettre aux docteurs de la Loi habituels, la synthèse des dispositions était, de l'avis de constitutionalistes, hors de portée de l'électeur moyen informé. Ce gap de compétence signale l'escroquerie démocratique. Le référendum chiraquien fut détourné en un jeu politicien, qui a mis en péril le fonctionnement du Conseil européen de Bruxelles dans une période historiquement dangereuse. Son échec ou son succès ne peuvent être sacralisés, pas plus que l'issue du référendum de Maastricht - un match Mitterrand-Séguin - ou celle du référendum de Pompidou sur l'intégration du Royaume Uni qui fut une énorme bêtise.
Convoquer le peuple au choix pour l'abuser ou le forcer dans un sens est une escroquerie. Même De Gaulle, initiateur de la formule dès son retour au pouvoir, usa et abusa du procédé par les questions doubles et la menace du quitte-ou-double. Il finit d'ailleurs sur un "quitte !".
Soyons cohérents. Le domaine régalien que nous déclinons en quatre chapitres, Justice, Sûreté, Diplomatie et Guerre, est sur le point de sortir du schmilblick populiste. Prendre au même moment la remorque de Paul Marie Coûteaux pour défendre le résultat de l'escroquerie démocratique de mai 2005 n'est pas exactement sur un axe de cohérence pour un royaliste ; et cela nous sera un jour reproché.
Au lieu de quoi il y aurait intérêt à rebondir sur ce raccommodage sarkozien qui met en évidence à la fois la pusillanimité de l'électorat qui deux ans plus tard a porté au pouvoir les européistes convaincus et affichés, en plaçant trois d'entre eux en tête de suffrages lors du premier tour de la présidentielle d'avril 2007, et ensuite l'extrême complexité du gouvernement de l'Europe qui oblige à sortir de cette impasse par n'importe quel moyen, même douteux. La vulgarisation diplomatique est plus difficile que la vulgarisation scientifique car tout ne peut être révélé. L'exigence d'expertise et compétence est patente. Nous, royalistes, avons la réponse à la question qui risque bien d'être posée bientôt puisqu'il y a des signes.
Que le traité simplifié soit pour certains une mauvaise chose est une question d'opinion, espérons informée. Mais parce que la sacralisation du choix populaire de mai 2005 est portée en bannière de tête de cortège alors que le procédé relevait de l'escroquerie démocratique, je n'irai pas manifester le vendredi 19 octobre à 18h place des Victoires à Paris (M° Bourse sauf grèves) sous la bannière de monsieur Coûteaux. Je ne vais pas me faire que des amis, mais n'ayant aucune responsabilité capitulaire, il me reste la liberté de dire et contredire. Merci d'avoir lu jusqu'ici et de donner votre point de vue ci-dessous.
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Catoneo, je vous aime bien, mais soit vous êtes fou, soit vous le faites exprès.
RépondreSupprimerje réagis pour l'instant au début de ce texte long.
"Il faudra faire avec", dites-vous. Et bien non, on ne fera pas avec.
Pour deux raisons :
- parce qu'on ne fera pas avec,
- parce le royalisme devient incohérent dès lors qu'il promet la paix des cimetières.
S'il s'agit de donner à la république le crédit qu'elle est en train de perdre, en validant tout ce qu'elle a inventé de plus abject, dans ce cas je préfère crier vive la république que considérer ces positions-là comme royalistes et même tout simplement comme saines.
Je vois avec tristesse que vous êtes sur la même longueur qu'Alliance Royale, dont le programme ne tient pas debout et c'est l'une des deux seules choses, avec la question dynastique, que je lui reproche. En manière de couronner la France, il s'agit en fait de couronner et de pérenniser l'actuel système du mensonge et de l'abolition définitive de la culture occidentale.
Je tiens à souligner au passage que lorsque sur divers forums j'ai appelé avec force le royalisme à rompre avec l'extrême-droite, je souhaitais qu'ils fassent rupture avec des groupes militants et des leaders imbéciles et avec leurs comportements.
Il n'a jamais été question pour moi d'entendre par là l'abandon des valeurs constitutives de la raison, qui sont le respect de soi, et la promotion fidèle de l'idée d'indépendance, énoncée comme elles doit l'être.
Lorsque vous vous réjouissez que les Maures puissent devenir des soutiens de la monarchie, je pense que vous perdez le sens et je songe à la notion de responsabilité, qui limitée par nature chez les êtres non instruits, ne devrait pas lâcher ceux qui comme vous sont dotés de la pensée, des moyens pour la dire, et de l'expérience par surcroît.
Je vous invite à en visager peut-être sous l'angle du transfert pudique les pleurnicheries permanentes de nombreux royalistes sur les morts de la révolution, si celle-ci doit masquer la mort contemporaine de ceux qui crèvent par la présence insupportable de l'immigration, mort qui sera physique enfin car jamais, jamais nous ne cèderons, sinon sous les balles de la répression.
Ce qui a été mal fait, il faudra le défaire.
L'Alliance Royale a le mérite d'avoir une offre politique "workable".
RépondreSupprimerEvidemment ça dénote dans le Landerneau royaliste où on se garde bien surtout de réussir !
Calmez-vous, vous ne déferez rien du tout ! Observez ce qui se passe aujourd'hui et adaptez peut-être la méthode.
Mais sur le fond du billet vous n'avez pas encore répondu.(:-))
Je n'irai pas non plus et pour les mêmes raisons.
RépondreSupprimerMême si comme vous le dites le procédé relevait de l'escroquerie démocratique, il faut bien reconnaître qu'en l'absence d'autres outils, il reste la ressource de souligner le mensonge du système, pour qui la démocratie et le choix électoral sont des prétextes. Je ne pense pas que les organisateurs soient dupes là-dessus.
RépondreSupprimerpour le reste, je répondrai demain, ayant tiré votre texte pour l'étudier. J'ai réagi tout-à- l'heure à ce qui m'a sauté aux yeux. J'ajoute cependant que je ne comprends pas que vous souteniez à ce point-là l'AR. A moins que l'attitude soit dictée par la même ressource que les Nonistes : - à défaut de mieux...
Je ne vois rien de workable à l'AR, et il me semble me souvenir que l'an dernier, lorsque j'ai découvert les forums royalistes, cette initiative n'enchantait pas beaucoup de monde...
La question de l'Immigration devra être posée et débattue, ce qui n'a jamais été le cas en France malgré les promesses sans cesse trahies de la Droite à ce sujet.
Mais je vois mal l'AR réussir à diffuser son programme qui cache mal les idées autoritaires de ses concepteurs...
Je demeure persuadé que c'est dans le dialogue coopératif que se trouvent les meilleures solutions, et c'est sans doute là-dessus que l'effort le plus grand reste à faire...
Je n'ai pas votre frilosité et pour beaucoup la fin justifie les moyens. La fin c'est d'empêcher le traité raccourci de Sarkozy.
RépondreSupprimerDonc j'irai le 19 soutenir Couteaux à Paris.
MTLG,
RépondreSupprimerQu'on aime ou pas ce gouvernement on doit lui reconnaître au moins le mérite d'attaquer la question de l'immigration en face.
Cette question est donc déjà posée, déjà débattue, et ils passent à l'action, avec certaine maladresse j'en conviens, mais ça faisait longtemps que rien ne bougeait.
Quant à l'AR, vous avez une opinion différente de la mienne, c'est tout.
Cher Catoneo,
RépondreSupprimerIl n'y a rien de dévaluant dans mes remarques pour mes interlocuteurs et pour vous en paticulier, même si le caractère entier de mes propos pourrait le laisser penser.
Il ne s'agit pour moi que d'affirmer avec force, des idées qui ne se limitent pas au rôle de la pensée mais qui se veulent suivies d'un débouché concret.
Je ne crois pas que ce gouvernement traite ce dossier de front. Mais il tente de s'en donner l'air, afin de détourner le regard de l'électeur de la réalité vécue, autrement dit pas celle des couloirs dorés de l'Assemblée.
Voici trois semaine, Hortefeux a validé la présence d'étrangers illégaux dans son fief électoral en leur remettant devant la presse des diplômes d'intégration. Il y a donc deux discours qui s'annulent, même si à cette occasion il a souligné que l'enseignement scolaire ne devait pas devenir une filière d'immigration.
Or, l'astuce de l'actuelle majorité réside là-dedans. Le Français n'est pas raciste, mais il ne supporte pas bien les abus considérables ainsi que les différences de traitement entre les populations d'origine immigrée et la sienne, et il a donc massivement voté aux mois d'Avril et de Mai. Alors, il faut bien que d'une certaine façon le contrat ait l'air d'être honoré, par ces internationalistes favorables à l'immigration et à l'intégration que sont les cadres actuels de l'UMP et du clan présidentiel.
Autrement dit, c'est leur sincérité qui pour moi est en cause. Or le point fort de l'actuel pouvoir, ce sont ses méthodes de communication. Et le traitement très relatif de la question immigratoire auquel on a droit maintenant, appartient à la communication, amis il n'y aura pas de résultat probant. D'ailleurs, le débat qui aurait dû avoir lieu, est une véritable débat avec les Français, un peu dans le genre de celui du Referendum, et je ne qualifie pas de débat ces discussions entre députés dans un système que par ailleurs je ne reconnais pas !
Mêms si c'est la Gauche qui est aux commandes dans la capitale de son fief électoral (Auvergne), la droite dirigeait le conseil général jusqu'à ces dernières années et plus récemment avait conservé la région avec Giscard et Hortefeux derrière lui, jusqu'aux dernières élections. Et Clermont6Ferrand est la seule ville de France, malgré la discrétion des médias là-dessus, où un commissariat ait été brûlé pendant les émeutes des banlieues. C'est un homme qui participe à l'exécutif local de cette région qui est aujourd'hui en charge du dossier au gouvernement. Si ce n'avait pas été pas la Gauche, amis la Droite à Clermont, les émeutiers auraient-ils rasé la ville ?
Quand vous dites : "Voici trois semaine, Hortefeux a validé la présence d'étrangers illégaux dans son fief électoral en leur remettant devant la presse des diplômes d'intégration"
RépondreSupprimeril vous faut être en mesure de prouver qu'ils étaient "illégaux", à peine de ruiner tout le reste de vos arguments.
J'aimerai avoir cette confirmation sur Brice Hortefeux. Très étonnant.
RépondreSupprimerJ'irai le 19 place des victoires aprce que je suis démocrate moi !
Ecoutez Catoneo, si vous cherchez querelle, avec moi vous le savez vous ne manquerez pas de la trouver.
RépondreSupprimerIl n'y a pas d'arguments à donner : il y a une situation, insupportable et qui ne sera plus supportée.
Deux catégories d'individus : ceux qui ont trahi le pays, ceux qui ne l'ont pas trahi.
Hortefeux est un âne, raison pour laquelle il se retrouve au sommet.
Mes arguments étants systématiquement mauvais, qu'il s'agisse de politique ou de royalisme ou de quoi que ce soit, je vais mettre un terme à ces discussions oiseuses avec les royalistes qui soutiennent tout, de l'Extrême-Droite jusqu'à la planète des singes.
Je ne justifierai pas mes propos, et si vous voulez être sûr de me nuire, je vous engage à lui écrire. Il poutrra ainsi me faire un procès, où je n'irai pas, car je fais ce que je veux.
De votre côté Catoneo, vous ne pourrez plus dire que votre royalisme s'ouvre au public : je suis le public, car je ne suis pas royaliste et voici un an que je supporte les incongruités de ceux qui se prétendent royalistes en dragant pour des traitres. Vos arguments " nous ne pensons pas la même chose, c'est tout" trahissent bien votre incapacité délibérée à procurer des arguments viables.
Les étrangers n'ont rien à faire en France, sinon, comme je l'ai dit hier dans le message qui n'est pas passé, ceux qui sont opposés à leur présence vont tout casser.
J'espère que c'est clair.
Quelle mouche vous pique ? La preuve contre Brice Hortefeux ne tiendrait donc que dans sa qualité de baudet d'Auvergne ?
RépondreSupprimerC'est un peu juste comme dialectique politique.
Prenez un Alka-selzer.
Je ne fais pas de politique.
RépondreSupprimerQuant à l'article, vous l'aurez. J'avoue que l'étonnement suscité hier m'amène à douter du terme employé, mais en tous les cas le principe du double langage est la base des pouvoirs aujourd'hhui existants, depuis un certain nombre d'années.
Quand à Amara, issue de la banlieue clermontoise, il serait utile de savoir si elle n'appartient pas à la stratégie de communication mise en place par Hortefeux, qui est, c'est reconnu, à l'origine des coups tordus auxquels la sarkozie s'est trouvé mêlée.
Peu m'importe que les bénéficiaires de la mesure dont j'ai parlé soient considérés légaux d'après le règlement du jour. Si l'on met en oeuvre des traitements particuliers à leur égard, on trahit la base fondamentale, loi de la république, qui reste en théorie du moins la loi française si le terme de république ne plaît pas à certains.