Les royalistes dans leur grande majorité refusent d'entendre, et peut-être de lire même les partitions proposées qui sont jugées "... de merde, plein de poncifs, aucune intelligence ...". Cet art est crasseux. Peut-être. A-t-on lu le reste de la production discographique non-rap ? Les chansons yé-yé ? Débile le rap ? Sans doute pas. Bien que je n'écoute pas du rap en boucle, je sais qu'il exprime un faisceau de sentiments, un perception sociale, laisse une trace historique mais qu'il est destiné d'abord à la vente ! Ce qui indique aussi que les thèmes et la façon de les délivrer doivent correspondre à l'attente d'un public solvable. C'est la base de tout art de masse. Aussi sulfureux que NTM, voici Sinik sur son titre ironique "Une époque formidable". Il a un site de fans ici.
Les 100 meilleures ventes de disques 2007 publiées par l'IFOP montrent que le rap, hip-hop et dérivés sont rémunérés par le marché. On peut cliquer ici pour s'en rendre compte.
Revenons à nos moutons, pure laine à chèche : Le réflexe de rejet préalable d'une couche sociale importante - que les Français-de-souche rêveraient de voir partir, dit-on, mais qui ne partira pas - donne les limites de la perception du pays réel par le mouvement royaliste. Ce pays réel ne peut-il être que celui qu'on aime ? D'aucuns hurlent chez nous que les "racailles" sont l'armée du pays légal ! Sommes-nous envahis de malades mentaux ? Je le crains dès fois. De boulets sans doute !
Quand nous serons décidés à faire de la politique, de la vraie politique les pieds au sol et pas des conférences pour trente convaincus sur des sujets convenus d'avance, nous devrons analyser alors le champ de manoeuvre - le théâtre d'opérations extérieures pour les plus guerriers - et y repérer les fossés, les parcours faciles mais aussi les portions effondrées ou dangereuses. A défaut de quoi nous en resterons trois ou quatre, à prendre notre petit Lipton Yellow de chez Franprix, le petit doigt bandé vers le Ciel qui se marre !
Avant de vous passer le texte (full size) du clip ci-dessus, je fais une digression. Certains professeurs des collèges opérant (on ne peut pas dire enseignant dans ce cas) en zones d'éducation prioritaire, s'avisèrent un jour de mettre certaines classes "défavorisées" au latin-grec. Le résultat ne se fit pas attendre : non seulement l'offre de savoir "chic" fut très bien reçue par les élèves, plus facilement que par leurs parents sans doute forcés à l'utile en conscience, et les notes de toutes les autres matières remontèrent. Digression 2 : un chef de fabrication d'une importante usine de roulements à aiguilles me confiait un jour que le ressort de la paix sociale dans un atelier est la considération que l'on porte aux ouvriers. Avons-nous de la considération pour la population politique que nous devons fatalement ensemencer ?
Les royalistes qui méprisent ou insultent les jeunes des cités pris en bloc parce qu'ils sont rassurés de n'avoir pas à analyser ou trier leurs comportements par ce réflexe de rejet, se trompent lourdement s'ils prétendent pousser à la roue d'un projet politique. Finalement ils vont au camp des saints, celui des vieilles inutilités, alors que personne ne les y pousse ! C'est leur choix, mais il ne faut pas compter faire de la politique à partir d'un camp retranché. On est hors du siècle ou dans le siècle, pas dans l'entrebaillement de la porte.
[Une époque formidable]
L'histoire commence aux Ulis en 1984,
Petit et peace dire que cette ville allait changer ma life ;
J'en suis marqué j'ai débarqué un soir d'hiver,
Cité des Hautes Bergères, tout à l'air grand mais faudra bien s'y faire ;
J'avais 4 ans mais les souvenirs me sont restés intacts
Ainsi débute ma vie entre les ter- inspec et le terrain vague ;
De jour en jour mes nouveaux potes seront mes nouveaux frères
Peut être qu'on est sur terre mais seul l'enfer me sera offert !
A cet instant, j'ignore encore que les mâtons m'attendent
Vas dire à ta maman que je suis un bon, que j'ai déjà ma bande !
88, on a 8 piges et tout roule,
Avec mes potes on joue au foot, de la tour Février à la tour Août,
A l'école ça se passe mal, je me sens mal, je vis mal, je dors mal,
Et quand j'en parle j'ai mon coeur qui s'emballe ;
Tous les 25 décembre, il faut trouver les mots,
L'argent nous fait défaut et par sa faute le Père Noël est mort !
{Refrain:}
Rappelle-toi, on était jeune, on n'avait pas la haine, on n'avait pas de label,
Dix ans plus tard certains manquent à l'appel !
Un peu plus tard j'aurais ma ville comme soutien,
Soudain j'écrirais ça pour que tu saches d'où je viens, les Ulis,
Pour que tu saches que toute ma life a un goût de flingue,
Pour pas que t'oublies après Bergères rajoute jungle !
Pour que tu saches à quel point tout ça me manque !
Que tu comprennes mon histoire tout simplement !
J'ai peur de rien sauf de mon père et ses putains de colères,
De ce putain de collège, des profs et des bulletins scolaires.
Ca se dégrade, doucement mais sûrement, et tard le soir sur le banc
J'entends les grands pousser des hurlements !
2 années passent et les premiers soucis s'amassent très vite,
La chance m'évite, alors après la classe, on casse des vitres !
J'aimais le son mais quand je rentrais j'apprenais pas mes leçons,
Petit mais paresseux trop parisien mais bon n'ai-je pas raison ;
90, j'ai 10 ans je commence à faire le mac et même à parler mal
Parce que j'ai pas cette putain de paire de Nike !!
Je traîne de plus en plus et aime de moins en moins
Hier quand je suis rentré, j'ai vu des jeunes rouler des joints dans le coin.
J'aimais l'été avec les potes le soleil sur l'épaule,
Du rap et du football, pendant que les grands déssoulaient sous les halls ;
J'encaisse les coups quand j'ouvre ma gueule, ou j'ai un mot
Hors de la norme, encore un homme caché dans le corps d'un môme !
Anéanti car mes parents n'ont jamais su mentir,
L'huissier m'appelle fiston parce que ce fils de pute m'a vu grandir !
Doucement je commence à rentrer tard pour admirer les tours,
J'ai 12 ans et l'école me casse les couilles alors je sèche les cours !
Je te l'ai pas dit à cette époque la rue m'inspire,
Et à 13 ans j'écrivais des petits bouts de phrase qui ne voulaient rien dire,
1er chapitre les Ulis pour adresse,
1er couplet de 84 à 93
{Refrain}
L'histoire reprend violement, année 1.9.9.4.
A une époque, mon pote, où les carreaux éclatent et les keufs claquent,
Mauvaises fréquentations entraînent les tentations,
Désordonné selon la conseillère de désorientation !
L'école c'est mort ! Je redoute que ma rue doute !
Dans le fond c'est rien à foutre,
Parce que plus tard je serais une star du foot !
Mes premiers vols, mes premières tapes, mes premières liasses,
Mon premier pote qui meurt, mon premier flingue devant ma première tasse,
Du haut de ma tour je vis en hauteur avec ma benne autour,
Ce putain de monde est sourd, personne m'entend lorsque j'appelle au secours !!
95, avec mes potes ça va de plus en plus mal,
Haineux pour la plupart, me calcule pas, je m'endors de plus en plus tard
J'ai l'air d'un gosse fait pour la tèce et les biz des tron-li,
Les grands m'ont dit "fais gaffe, les keufs te soulèvent dans ton lit" !
Effectivement les keufs te sautent pour te faire déraper,
J'avais 16 ans quand j'ai gravé malsain en G.A.V.
Encore trop jeune pour travailler, plus d'école,
Alors on traîne et on déconne, ici c'est le hall qui distribue les rôles ;
J'aimais rapper, mes potes pas trop, mais j'ai tenté ma chance.
C'était la première fois que des bouts de phrases pouvaient quitter ma chambre
Les miens m'écoutent et ne me suivent pas dans mon délire,
Tandis qu'aux Amonts y'a du flow déjà très tôt c'est ce que j'entendais dire,
C'est avec eux que je pète le mic et toutes les carotides,
Que tous les carreaux tilts qu'on baise la ville de façon chaotique,
A part le son 2 ans plus tard, j'ai grillé toutes mes cartes,
Et j'ai soufflé mes 18 bougies aux D4 !
En ressortant je me suis pas dit que j'avais eu tort mec,
C'est pour le simple fait mais ça ne te rend ni plus faible ni plus fort !
J'ai du tirer ma première taf un putain de soir d'été,
Puis j'ai compris que c'était mal et je commence à regretter,
Entre temps j'ai du replonger 2, 3 fois,
La police veut m'avoir le rap est love de ma Voix !!!
{Refrain}x2
Du nuage où il se penche pour admirer le progrès des villes et la lamentable stagnation des âmes, François Villon bat la mesure en écoutant le rap des cités.
Lui, comprend. A vous les studios !
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piqure de rappel ? Tout juste une pichenette...Pas de quoi fouetter un chat!
RépondreSupprimerVous êtes mûr pour intégrer le cycle universitaire "cultures urbaines" de l'université de paris 8 st-denis. Bon courage à vous. Vous disposez de toute évidence des dispositions du conformisme ambiant et du socialement correct de nature à vous assurer d'excellentes notes. J'adresserai mes plus chaudes recommandations au directeur du cycle afin qu'il vous accueille avec toute la bienveillance due à la profondeur et la justesse de vos analyses. Nous attendrons avec la plus grande attention vos études, nous, pauvres militants de base du royalisme maurassien, qui n'avons absolument rien compris à cette nouvelle philosophie qu'est le RAP.
Nous nous prosternons devant vous, divin maître, qui nous avez fait prendre conscience de l'étroitesse de notre pensée, nous qui nous complaisions dans des cercles d'études sans aucun intérêt !
Dès demain, nous jetons l'enquête sur la monarchie(de maurras, un type complètement dépassé)et la colline inspirée (de barrès, je crois, un obscur écrivaillon du siècle passé) aux orties. D'ores et déjà, nous prévoyons un cercle d'études sur le "le RAP et ses implications socio-politiques à l'aube du 21e siècle, pensée et devenir d'une philosophie contemporaine" avec joey starr et kool shen en guest stars. Vous êtes bien sûr convié à venir nous faire part de vos lumières.
242 BOULEVARD PAUL VALERY, 1er ss-sol, 6e cave à gauche après le local poubelle (y a plus de poubelle, elles ont brûlé en solidarité avec villiers le bel).
Tapez 21 fois à la porte, attendez 3 mn, puis tapez 9 fois, puis 11 fois pûis...attendez que le pitbull ferme sa gueule. Y aura du sky et de la beuh.
j'ai oublié : c'est à 95200 sarcelles, une jolie petite ville francilienne, avec des vergers, habitée par des pieds-noirs... EUH, non, çà c'était avant, dans les années 70, du siècle d'avant....
RépondreSupprimerJ'y serai.
RépondreSupprimerA+
:-)
Cher anonyme,
RépondreSupprimerDes racistes chroniques de votre genre coûtent très cher à la cause royaliste.
Vous êtes même une curiosité en 2008, et je ne connais aucun prince qui partage vos aigreurs.
En mécanique on vous appellerait un balourd !
cher aymeric
RépondreSupprimerje vous met au defi de me demontrer qu'il y a un soupçon de racisme dans mes propos. On appelle çà un procès en sorcellerie.
Je n'ai également aucune aigreur.
J'emmerde les princes, ces fins de race dégénérés !
Mon royalisme n'est pas de ces eaux!
Et je n'ai aucune leçon à recevoir très cher !
Quand on n'a plus que l'anathème comme argumentaire, en sport on appelle çà être à bout de souffle. Un peu d'entraînement, garçon !
Il y a une différence entre être à bout de souffle et avoir le souffle coupé... Car en vous lisant on aurait en effet presque le souffle coupé devant les clichés que vous bavez.
RépondreSupprimerLes maurrassiens qui n'ont pas évolué d'un poil depuis la III° république me font penser aux émigrés de la restauration qui n'avaient, selon Talleyrand, rien appris et rien oublié, encore qu'avec vos princes "fins de races", vous alliez encore plus loin dans le romantisme, qui plaisait tant à votre Maurras (sic !), ce même Maurras qui pourtant fidèle à l'empirisme n'avait cessé de faire évoluer sa pensée, ses positions, de se convertir.
Vous qui n'avez aucune leçon à recevoir êtes certainement bien plus brillant que le regretté martégal dont la pensée à peine digérée nourrie votre vanité.
Vous êtes un romantique en somme, "anonyme", qui plus est en proie à vos passions, bref ce n'est pas très sérieux tout cela...
Les sorcières au moins étaient prises au sérieux pour qu'on leur fît des procès, qu'on leur jetât l'anathème, alors rassurez vous, vous n'en méritez pas, car tout ce qui est excessif est insignifiant.
Et ce serait bien trop d'honneur vous faire.
La grandiloquence et un style rien moins qu'empoulé ne peuvent masquer votre absence d'arguments, votre conformisme et votre soumission à l'air du temps. Ni une petite pointe d'énervement qui vous fait perdre le fil de discussion.
RépondreSupprimerPrenez également un dico, cherchez la définition du romantisme. Çà vous évitera de vous ridiculisez.
Cela m'amusait de vous répondre sur ce ton, sans doute pour faire écho à la grandiloquence des anathèmes et des procès en sorcellerie dont vous vous dites victime...
RépondreSupprimerSoumis à l'air du temps ? Conformiste ? Pourquoi ? Le tout sans aucun argument de votre part... Par ce que je ne serais pas d'accord avec vous rebelle devant l'éternel ?
C'est creux, sans raisonnement, au mieux cela fait ressortir l'emprise de vos sentiments sur le monde actuel, ce qui dénature invariablement votre raison.
La définition du romantisme ? Je la connais, et plus je la lis, plus je vous y retrouve.
Aussi je vous enjoins de même, puisque vous avez certainement ouvert le dico pour vérifier et afin de ne pas vous arrêter si bon chemin, d'y regarder à "ampoulé"...
Pour vous faciliter la chose et vous éviter le ridicule seul face aux pages noircies du volume, je vous signale avec grandiloquence que vous ne le trouverez pas dans les "E", mais dans les "A".
Vous n'avez sans doute jamais fait de fautes de frappe.... ("afin de ne pas vous arrêter si bon chemin"....)
RépondreSupprimerConformiste parce que pliant devant l'air du temps qui doit faire prendre le rap pour la grande poésie moderne,
conformiste parce pliant devant le pseudo anti-racisme contemporain.
"C'est creux, sans raisonnement, au mieux cela fait ressortir l'emprise de vos sentiments sur le monde actuel, ce qui dénature invariablement votre raison."
En bon français, cette phrase n'a strictement aucune signification.....
Je vous rassure, je ne suis victime de rien. Simplement accuser quelqu'un de racisme pour le disqualifier, c'est un procès en sorcellerie. CQFD
Je maintiens que vous ne connaissez pas la définition du romantisme.
J'ai trouver une petite faute dans cette phrase de votre précédent post : "la pensée à peine digérée nourrie votre vanité." Au travail...
Vous voyez, on peut jouer longtemps...
Et de toute évidence, et vous ne trompez personne, la grandiloquence et le style ampoulé est votre marque de fabrique. C'est très fin de siècle,un peu suranné. Mais sans charme.
L'oubli d'un mot n'est pas vraiment une faute de frappe (que je suis le premier à faire), mais c'était avant tout pour vous renvoyer à votre cher dictionnaire comme vous l'aviez fait avec moi, procédé que je trouve débile et puérile, mais visiblement vous en êtes friand...
RépondreSupprimerJ'aurais peut-être dû préciser les propos auxquels je répondais en les citant, peut-être... Mais vous me sembliez assez grand pour comprendre ce à quoi je faisais allusion. Preuve en est que non. CQFD.
C'est presque triste... Enfin...
Je trouve affligeant que vous disiez que je suis conformiste parce que tout acquis à notre temps je prendrai cela pour de la poésie moderne, et pliant devant l'anti-racisme...
Je n'ai parlé à aucun moment de rap dans mes messages, j'aurais donc eu beaucoup de mal à dire que c'est pour moi de la poésie. En outre je n'ai parlé à aucun moment de racisme, ni même d'anti-racisme, voyez cela avec Aymeric de C.
Par contre j'ai dit qu'en tant qu'excessif patenté en proie à ses passions, vous n'étiez pas digne d'un procès en sorcellerie.
Alors de deux choses l'une :
-soit vous êtes à ce point binaire que tout ce qui ne pense pas comme vous est contre vous,
-soit vous êtes d'une indécrottable mauvaise foi. CQFD !
Donc en plus d'être de mauvaise foi et de prêter aux gens des paroles qu'ils n'ont pas proférés vous ne comprenez pas ce que l'on vous écrit, de toute évidence. Car, je ne cherche à tromper personne en effet, puisque je m'amuse à vous répondre ainsi, pour le prouver (vous semblez aimer ça les "démonstrations") je vous renvoie donc à mon précédent message, premier paragraphe. CQFD.
Bon, puisque vous parlez tout seul, répondant à des propos que je n'ai pas tenu, je vous laisse à votre imagination débordante de romantique qui s'ignore.
Voilà...
blablabblabla...
RépondreSupprimerDécidément, je vous enmène où je veux....
Tant que vous m'amusez... Vos cabrioles ne manquent pas de me faire sourire, presqu'autant, je dois le confesser que votre manie du CQFD.
RépondreSupprimerEtre conduit par quelqu'un qui a des oeillères est tellement désuet de nos jours que je ne puis y résister. ;-)
Kolossale finesse...Le style d'un panzer, une plume de secrétaire de sous-préfecture, une diatribe socio-cul de petit prof de gauche.
RépondreSupprimerSynthèse admirable
Il est dommage que la vulgarité et l'insulte soient le refuge des petits esprits.
RépondreSupprimerVous qui m'emmeniez où vous le vouliez selon vos dires !! J'aurais volontiers préféré un chauffeur de taxi parisien...
Vous ne valez guère mieux que les rappeurs que vous critiquez.
L'on est jamais mieux "haï" que par les siens.
On peut aimer ou détester le rap, ou lui être indifférent, mais on ne peut lui ôter qu'il véhicule une réalité.
RépondreSupprimerLes textes de rap français sont signifiants.
Que la vérité soit ailleurs est une autre affaire.
Chacun ses goûts....Et puis çà fait populo, çà permet de s'encanailler. Très bobo, en somme....çà peut être drôle. J'imagine les titres : "louis au bistrot du coin", "louis prend sa première biture", "louis met les mains...euh, non, çà tourne au vulgaire.
RépondreSupprimerAlors, si maintenant, les textes de rap sont "SIGNIFIANTS"....
Je constate que la sociologie de bazar fait des ravages dans tous les milieux.
A quoi vous en êtes réduit... Lamentable.
RépondreSupprimerLes commentaires sont "modérés" sine die ...
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