Comme nous le supposions dans notre rubrique nécrologique, la Gauche est à la rue. C'est sûr ! La dernière pitrerie de l'ancienne Garde des Sceaux qui devance l'appel à primaire et "envisage" sa candidature à la présidence de la République française pour la mi-janvier, nous le prouve. Si, si ! Quoiqu'elle puisse revendiquer un curriculum vitae enviable et une bonne formation universitaire, elle n'a jamais percé en métropole hors des couloirs dorés parce qu'elle ne répond pas aux soucis réels des Français et ramène sur le tapis des causes exogènes qui ne les intéressent pas. Le mariage de quelques homosexuels entre eux, la commémoration de l'esclavage où aucun Français vivant aujourd'hui n'a jamais trempé, la réforme pénale compassionnelle alors que l'insécurité n'est plus un "sentiment", ses thèmes n'ont jamais intéressé les gens. Son successeur à la chancellerie évoquera pour sa part une "justice sinistrée"; ce qui ne la privera d'aucune fierté.
Elle se présente aujourd'hui comme la vestale que le temple attend. Comme en 2002 ? En se présentant au titre du parti croupion des Radicaux de gauche, elle fit trébucher Lionel Jospin de 2,32% laissant le favori trotskyste sur le carreau pour la plus grande gloire de Jean-Marie Le Pen qui la vomissait ! Réveillée après six ans de léthargie politique, la belle au bois dormant fait toujours 2% dans les enquêtes d'opinion, mais sent vibrer en elle la mission de sauver la France et la Gauche d'abord. Son clip de proto-candidate (clic), passant le projecteur sur toutes les clientèles, fait tourner la noria des valeurs de gauche dans les mots-valises habituels, les mêmes que brandit d'ailleurs Anne Hidalgo sans succès. Elle-même est à 3%, sans doute à 2,5 aux fêtes de fin d'année.
Yves Yannick Jadot, qui se bat comme un beau diable pour décoller de la vase répandue sous ses pieds par sa co-listière imposée, la catastrophique Sandrine Rousseau, ne décolère pas d'entendre l'annonce faite à Christiane par les voix de Domrémy. Jean-Luc Mélenchon ne l'a pas encore insultée, mais s'est contenté de l'envoyer jouer avec sa pelle et son seau dans le petit bac à sable socialiste pour lui foutre la paix. Des instituts, peu nombreux certes, le donnent à 11 et 12%, il y croit. Le communiste Roussel, qui est lui-aussi à 2%, ne voit pas à quel titre il retirerait sa candidature pour faire de la place à la Guyanaise. Seul Arnaud Montebourg, qui semble n'avoir rien compris au film, reste ouvert à toute proposition ; il est vrai que c'est à n'y rien comprendre finalement. A moins que ! A moins que la minorité agissant dans l'orbite woke ne diffuse en continu l'avantage que nous aurions à élire une noire et femme de surcroît. Tout est possible dans ce pays, et même que Mme Taubira rentre dans ses frais.
A moins que bis, au mois de janvier, des caciques socialistes touchés dans leur gloire d'éléphant ne reprennent les dés pour les confisquer et lancent la candidature de l'un d'entre eux au nez et à la barbe des instances du parti mourant de M. Faure. Un nom pareil et finir aux chiottes ! On devine ceux qui ont déjà gouverné le pays et ne sont pas passés encore dans le camp du Gamin. Manuel Valls, Jean-Christophe Cambadélis, Bernard Cazeneuve, Vincent Peillon, Ségolène Royal, Stéphane Le Foll et pourquoi pas Carole Delga qui a plus de pêche que la mégère Hidalgo. Le piéton ne comprend d'ailleurs toujours pas comment fut élue cette gourde, menacée par Bercy pour sa gestion opaque et dispendieuse de la ville de Paris, classée partout "ville sale" et encombrée de trafic automobile, avec des points officiels de deal de crack, la totale !
Je ne sais qui, ce mois-ci, a sorti du chapeau Christiane Taubira ; sans doute au PS, un ami qui lui veut du bien, en vue de futures obsèques.
Elle se présente aujourd'hui comme la vestale que le temple attend. Comme en 2002 ? En se présentant au titre du parti croupion des Radicaux de gauche, elle fit trébucher Lionel Jospin de 2,32% laissant le favori trotskyste sur le carreau pour la plus grande gloire de Jean-Marie Le Pen qui la vomissait ! Réveillée après six ans de léthargie politique, la belle au bois dormant fait toujours 2% dans les enquêtes d'opinion, mais sent vibrer en elle la mission de sauver la France et la Gauche d'abord. Son clip de proto-candidate (clic), passant le projecteur sur toutes les clientèles, fait tourner la noria des valeurs de gauche dans les mots-valises habituels, les mêmes que brandit d'ailleurs Anne Hidalgo sans succès. Elle-même est à 3%, sans doute à 2,5 aux fêtes de fin d'année.
A moins que bis, au mois de janvier, des caciques socialistes touchés dans leur gloire d'éléphant ne reprennent les dés pour les confisquer et lancent la candidature de l'un d'entre eux au nez et à la barbe des instances du parti mourant de M. Faure. Un nom pareil et finir aux chiottes ! On devine ceux qui ont déjà gouverné le pays et ne sont pas passés encore dans le camp du Gamin. Manuel Valls, Jean-Christophe Cambadélis, Bernard Cazeneuve, Vincent Peillon, Ségolène Royal, Stéphane Le Foll et pourquoi pas Carole Delga qui a plus de pêche que la mégère Hidalgo. Le piéton ne comprend d'ailleurs toujours pas comment fut élue cette gourde, menacée par Bercy pour sa gestion opaque et dispendieuse de la ville de Paris, classée partout "ville sale" et encombrée de trafic automobile, avec des points officiels de deal de crack, la totale !
Je ne sais qui, ce mois-ci, a sorti du chapeau Christiane Taubira ; sans doute au PS, un ami qui lui veut du bien, en vue de futures obsèques.
[1997]
Yves? connais pas!
RépondreSupprimerYannick peut-être?
Sinon, en quoi Sandrine Rousseau est-elle catastrophique? On peut ne pas être d'accord mais elle a quelque chose à dire au moins
OK, je corrige le prénom.
SupprimerSandrine Rousseau est catastrophique pour la campagne électorale de Yannick Jadot.
Pourquoi ? Parce qu'il incarne une écologie de gouvernement (comme les Grünen en Allemagne) et que Sandrine Rousseau force la porte de sa campagne au motif d'avoir atteint la finale : or son positionnement "khmer vert" est un repoussoir pour les électeurs. Donc Jadot ne percera pas ce 7% qui le bloque depuis le début, ce qui fragilisera EELV pour les législatives.
C'est toujours a faute à Rousseau...
RépondreSupprimerOn le lui disait déjà en classe de sixième :)
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