Lettre ouverte aux Chapelles
Messeigneurs Capitouls,
Les royalistes affichés ont fait des scores minuscules aux dernières élections, les royalistes cryptés de meilleurs certes, sans doute dus à leur personnalité. Pourquoi ?
Le royalisme n'est pas adapté aux élections locales puisque la monarchie est un mode de gouvernement de l'étage régalien. A preuve, les professions de foi que j'ai pu lire ne se démarquaient pas de celles que l'on retrouve le plus souvent au Centre, fondées sur le "bon sens" qui est simplement l'art de « distinguer le vrai d'avec le faux, » nous a dit Descartes. La rédaction des professions avait été laborieuse pour se démarquer un peu quand même, mais au niveau local vendre le roi est une gageure.
FAIRE UN MARCHÉ
Si les royalistes veulent investir les sphères démocratiques locale et régionale sous leur bannière, - c'est une option de propagande qui n'est pas partagée par tous les chapelains - il faut que l'électeur les distingue à partir d'une revendication politique propre.
On connaît celle des partis de gouvernement qui se résume à une syndication des sortants jusqu'à y propulser leur progéniture ; celle des partis de la gauche avérée qui veulent réguler la vie économique sur la Dette au bénéfice exclusif des salariés – l'Allemagne paiera ! - ; celle des partis de la droite nationale qui sont europhobes, islamophobes, philojudéophobes et plus généralement xénophobes et mangent du porc. Dieudonné et Soral font un tabac chez nous, mais encore ...
Où trouver sa voie ?
Dans le pacte national d'échange de la souveraineté régalienne contre la démocratie locale :
Proposer à l'opinion publique d'abandonner à la Compétence supérieure les quatre pouvoirs régaliens (1), en contrepartie de quoi les décisions des étages publics subalternes passeront par la démocratie de proximité de type helvétique. C'est la déclinaison du slogan perdu :
"l'autorité en haut, les libertés en bas"
Ces étages publics sont deux :
Etage élémentaire : communes puis arrondissements (nos anciens baillages) :
Démocratie directe et large usage des votations pour trancher les choix, avec une exigence d'éducation civique en analyse politique appliquée au fonctionnement de la cité, avec des cours du soir si l'on ne veut pas laisser passer le con brut, encore que toutes les créatures du Seigneur soient égales en droits.
Etage intermédiaire : régions/provinces :
Démocratie représentative à la proportionnelle disposant d'une autonomie exécutive et budgétaire par une décentralisation totale des pouvoirs, sauf les 4 domaines régaliens qui ne seront pas partagés du tout. Fin des polices municipales.
Mieux on tranchera le lien entre les étages publics subalternes et régalien, plus on responsabilisera les acteurs politiques qui ne sauront plus reporter leur éventuelle incurie sur l'incompétence arrogante des ministères, ou sur le sabotage partisan des strates administratives de base. Aujourd'hui les mairies socialistes suivent les directives de la rue de Solférino !
LE SUISSE DU CONCOURS
Ainsi le royaliste en campagne va-t-il rapidement être identifié non par son originalité exotique et son art de la guerre en frou-frou mais comme le démocrate total, le libertarien, le Suisse du concours. L'image ne peut que valoriser le candidat puisque le système proposé convoque à son fonctionnement la connaissance, l'honnêteté et la sincérité, trois valeurs électorales autant que morales. Que lui-même pense autrement est secondaire. Politique d'abord !
Si l'on pousse l'analyse, on voit bien que l'image autoritaire attachée au « pouvoir fort du roi » s'estompe au profit de l'initiative locale, tout en garantissant une solide charpente de toiture à l'Etat central compacté et durci en puissance et compétences.
On devine aussi que la campagne électorale ne peut être tirée par nos adversaires vers les périodes contreproductives voire mortifères du mouvement natio-royaliste.
Si l'on continue l'analyse au niveau régalien, on voit aussi que la Compétence retrouvée au sommet (vieille république aristocratique des experts ou conseils) peut affronter avec de meilleures armes techniques la Compétence institutionnelle européenne et atlantique. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle ne peut engager de négociation que sur ses quatre domaines réservés, les autres lui étant retirés.
- Ces messieurs contre la chasse veulent-ils contraindre les populations péri-urbaines de marcher sans but en forêt avec juste un bâton ferré qu'ils devront convaincre toutes les communes de la région visée.
- Le canal Seine-Nord devra être discuté entre 3 ou 4 régions qui se coordonneront.
- La ligne à très haute tension des Pyrénées orientales devra rapporter gros à la région traversée à peine de prendre la mer.
Nos ministres et ministricules actuels sont avalés tout crus par les services de la Commission et même par la Cour de Justice. Il n'en ira pas de même avec de vraies pointures. Car nous en avons, et je ne verserai pas dans la flagornerie ; un peu quand même : vous pouvez refaire Douste-Blazy ou Kouchner, mais pas Védrine ; Barnier, mais pas Nihous ; Alliot-Marie, mais pas Mégret ou Pasqua.
Que l'articulation des choses nécessite des réglages ultérieurs au niveau local est secondaire. Nous parlons "campagne électorale", ce n'est pas un moment de finesse.
LE MARCHÉ EST FLATTEUR
L'échange proposé au peuple que l'on nomme délicatement Opinion, assure son prestige et renforce réellement sa protection nationale tout en l'incitant à pénétrer le gouvernement de son quotidien, ce qui le flatte.
La revendication étant institutionnelle par essence, elle laisse le champ libre à l'exaltation des « valeurs » qui sont les plus reconnues localement. Nous sommes pour divorcer des valeurs dans la démarche monarchiste globale pour en faire la meilleure offre du marché politique en plasticité. Le Suisse du concours peut être tradi-catho, libéral, gaulliste canal historique, atlantiste, mahométan, pro-vie ou soixante-huitard, qu'importe, il apporte la vraie liberté démocratique où le besoin s'en fait le mieux sentir.
ELECTIONS PROCHAINES
Un axe électoral quelqu'il soit doit être lancé en propagande bien avant l'ouverture de la campagne officielle. Les prochaines élections sont dans un an. Ce sont les européennes.
Plutôt que de courir derrière les attributs d'une souveraineté entamée par l'Union européenne, travaillons sur une décentralisation basse et affinons l'helvétisation des communes pour dans six ans.
Les gens ne s'intéresseront pas au fumeux débat institutionnel en Europe, mais se recentreront sur l'accessibilité aux solutions de leurs problèmes qui pourraient s'agraver de beaucoup d'ici un an. Notre démocratie directe est une manière d'affronter la technocratie européenne en interposant des fusibles à son ingérence et de dénoncer leurs abonnés prébendiers.
Sortons déjà les collectivités locales du champ "fédéral".
Campons solidement sur l'axe de ce marché passé avec la Nation : « autorité/compétence en haut, les libertés de choix démocratique en bas ».
Croyez bien, Messeigneurs Capitouls, à mes sentiments respectueux.
Catoneo
Footnote (1): les quatre pouvoirs régaliens seraient la sûreté nationale, la guerre, la diplomatie et la justice.
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Couper le chemin entre Bruxelles et les collectivités locales est assez sioux. Mais je ne pige pas encore quel argumentaire serait applicable à la campagne électorale pour renouveler le parlement de Strasbourg.
RépondreSupprimerDe notre bord je pense qu'on s'investira à fond dans ce que tu appelles le souverainisme primaire !
Pas de marchandage !
RépondreSupprimerEt si l'optique que vous défendez marchait, j'y serais opposé ! Et si elle ne marche pas, j'y serai opposé aussi !
Nous attendons toujours avec autant d'impatience votre feuille de route qui va arracher la Cause à l'ornière où nos modestes compétences la laisse croupir.
RépondreSupprimerA vous les studios !
Détacher les pouvoirs régaliens des autres pouvoirs de l'Etat est une vieille "lubie" de Catoneo.
RépondreSupprimerMais à la réflexion (pour ceux qui travaillent entre leurs oreilles) c'est bien le maximum que l'on puisse obtenir à l'issue de la V° République.
Son dispositif des domaines réservés dessine notre futur. Le reste est certes difficile mais surtout de l'habillage.
Que proposez-vous Druide pour avancer ?
Cette formule peut marcher, et c'est bien ce qui m'ennuie !
RépondreSupprimerBon, plaisanterie mise à part, ce qui me chagrine est le principe de bouturer une formule monarchique quelle qu'elle soit, en allant plus loin qu'utiliser la rampe électorale, c'est-à-dire en consentant un compromis sur le fond. J'ai l'impression qu'il s'agit d'un partage dos-à-dos qui maintiendrait en place non seulement les travers institutionnels du système actuel ou tout au moins une partie, mais aussi ses réseaux et leur façon d'exister. On serait dans le cas de figure dont j'ai déjà parlé, consistant à valider un peu de république, beaucoup d'erreurs, et un peu de monarchie.
Encore, et je le dis pour ceux qui ne l'ont pas lu quelque part, et éviter toute confusion, je ne suis pas favorable à la royauté traditionnelle avec son parfum de transcendance. Par "un peu de monarchie", j'entends seulement qu'elle ne doit pas être comprimée avec ce qui lui est opposé, auquel cas elle ne serait qu'un décor.
Certains ont l'air de croire, dans les débats, que le principe traditionnel à la façon de Maurras et associé à toute la panoplie d'avant aurait pour vertu de rendre bon, peu à peu tout le reste. Par contamination positive en quelque sorte. Je n'y crois pas beaucoup...
Sinon la formule de Catoneo, par elle-même, est lucide !
D'un autre côté, l'étude d'un projet abouti a-t-elle quelque chance d'intéresser un monde qui réfléchit encore moins qu'avant ? C'est une occupation utile, certes, dans les cercles royalistes plus ou moins larges, mais au fond, ce qui permet de gagner l'adhésion populaire, de trouver les ressorts d'un vaste soutien me parapit être "le passage de rampe", le coup de coeur médiatique, un peu comme le n°1 actuel... Quelqu'un capable de ça peut aussi installer un régime dangereux, car les boeufs ne sont pas regardants comme Catoneo le dit très bien.
Les gens sentent bien que le régime pourrit sur pied. Des hommes politiques réputés parlent de 6ème République qui ressemble terriblement à la défunte 4ème. D'autres exaltent la compétence du satrape comme pierre d'angle, d'autres enfin sont heureux d'arracher le gouvernement des choses à une classe politique assez méprisée pour le mettre entre les mains d'experts européens moins impliqués dans les tractations d'appareils ou les magouilles locales. La sommation de la Commission à résoudre le désordre des ordures napolitaines porte là où il faut. Les Napolitains seront sauvés par Bruxelles !
RépondreSupprimerL'époque est à l'institutionnel.
Sauver l'étage régalien de la foire d'empoigne en le confiant à une maison royale entourée de professionnels n'est pas difficile à vendre. Mais le bon peuple ne donnera rien pour rien, on lui a trop menti. D'où le deal proposé.
Juste une question : qui va se jeter dans l'arène politique locale à partir du moment où vous "décrétez" la democratie directe suisse ?
RépondreSupprimerLes partis républicains que vous aurez décramponnés de la mangeoire régalienne car il faudra bien que leurs élites préservent leur train de vie !
Préparez-vous la Terreur afin que prévaricateurs et concussionnaires fuient à Coblence ?
Le référendum de 2005 a montré que l'Opinion pouvait se passer des "corps intermédiaires".
RépondreSupprimerLes partis politiques sont discrédités mais maintenus quand même parce qu'ils tiennent la porte d'accès aux pouvoirs locaux.
Faites sauter la porte, ils deviennent à l'évidence inutiles et leur position de parasite se verra comme le gui sur l'arbre sans feuilles.
La stratégie que je cherche à appliquer est d'attaquer prioritairement tout ce qui est du côté du satrape pour la raison que c'est ce camp-là qui détient les rênes pour l'instant.
RépondreSupprimerC'est quasi-impossible sans moyens, et le seul exercice possible est de persuader l'opinion par la communication, que ces partis sont inutiles et néfastes. Chercher à pénétrer le tissu politique existant est hors d'atteinte à mon avis, et ce n'est d'ailleurs pas sans risque.
A l'autre bout, pour installer votre idée, l'imposer, se trouve la solution d'une véritable candidature présidentielle. Celle de quelqu'un qui, libre déjà de tous les cercles d'intérêt déjà existants, se trouverait en volonté d'appliquer des remèdes fondamentaux, et que les circonstances, après tout pas si fréquentes, aideraient puissamment. Ces circonstances sont précisément l'état de pourriture avancée du tout et du reste. La fin des polices municipales est un projet que je défends aussi !
Il faut par ailleurs être prêt assez tôt si l'on veut s'unir pour soutenir un candidat qui passe la rampe. Cette fois-ci, il n'y aura pas YMA. Croyez-vous possible une entente de ce type malgré les différences profondes d'opinion ? A partir du moment où une plateforme souple mais solide serait partagée par tous, et auquel cas il serait bon d'en discuter sans tarder...
La doctrine est en train de décanter à grande vitesse pour aboutir à une simplification préalable à la propagande de masse.
RépondreSupprimerIl faut quelque part libérer le royalisme de l'Université.
Je persiste à demander la "popularisation" du concept monarchique. L'élitisme n'a mené nulle art !
C'est quand même l'université qui a maintenu le maurrassisme après le désastre de 1945 !
RépondreSupprimerMais pour ensemencer l'opinion, les universitaires ne sont pas à l'aise. Trop populaire l'action ! Les questions qui remontent ne sont pas du bon niveau, la plèbe est inintéressante, etc.
Est-ce le maurrasisme qu'il faut laisser aux "penseurs" pour ne s'occuper que du royalisme ?
Je crois bien que la doctrine l'a tué !
Ce sont les cercles de réflexion royaliste que Catoneo nomme "l'Université" si je ne me trompe.
RépondreSupprimerQuant à la popularisation, (c'est à Catoneo que je m'adresse)d'autres s'y emploient, le projet auquel vous faites allusion, sera inévitablement confronté à d'autres projets à commencer par le mien. Je pense que ceux qui s'appuient sur des bases et des principes et des choix qui ont démontré leur inadaptation et leur inefficacité feraient bien d'écouter les avis divergents. Ce réflexe du "on a tort donc on recommence" n'a rien à envier aux républicains...
Vous parlez d'élitisme et comme d'habitude vous repoussez les propositions de concertation, affirmant que tout est déjà en place. Vous me demandez d'éclaircir ma pensée, ce que je fais rarement, mais quand je le fais vous esquivez.
Ce que je disais en entrée, plus haut et en plaisantant, je le redis sérieusement. Un projet bouclé en petit comité, par des délégations appartenant toujours aux mêmes sensibilités royalistes et en même temps aux mêmes sensibilités politiques générales, le tout réuni autour d'une dynastie qui n'a plus rien à produire et alors qu'il n'y aura pas de réconciliation entre les deux candidats capétiens, se heurtera à d'autres projets et en tous cas au mien. Il semble bien que, derrière des idées qui ne manquent pas d'ingéniosité, vous cherchiez en réalité à entretenir les vieilles chapelles d'un royalisme ranci.
"On ne coud pas une pièce neuve sur une tunique usagée"
Les "cercles de réflexion royaliste" ne servent plus à grand chose depuis le temps qu'on réfléchit...
RépondreSupprimerL'offre politique monarchiste est la meilleure qui soit pour le bien commun du peuple. Nous savons le prouver.
C''est de propager ce concept qu'il s'agit maintenant, pas d'y réfléchir encore.
Réfléchir à la propagande ? D'accord !
Je suis d'accord pour étudier une action commune de propagande sur une projet monarchique épuré et exempt de ce que ces fameux cercles ont produit, autrement dit un projet conforme aux options que vous connaissez. Projet qui conviendra à tous. Il faut l'envisager avant de se répandre dans une action qui serait vécue à contre-coeur.
RépondreSupprimerIl n'est pas question de donner dans une opération qui donnerait profit à un candidat donné, ni de répandre une version épurée et "commercialement porteuse" des formules anciennes.
Je propose que nous continuions d'en parler iciet aussi par voie directe, sachant que vous êtes idéalement placé pour faire se renconter ce que l'on pourrait appeller diverses familles de pensée.
Le sens est le suivant : puisque je sais ce que proposent les chapelles ordinaires, et qu'on ne sait pas encore, tout au moins à part quelques détails, ce que de mon côté je propose, je vais rédiger ce qui me paraît être une formule idéale de réunion, une plateforme. Car l'offre monarchique dont vous parlez ne correspond nullement à ce que je souhaite ni à ce qui peut à mon avis satisfaire les Français.
Et parmi ce que vous appelez la propagande, se tient aussi la formule d'une candidature présidentielle. C'est le meilleur moyen de faire surgir au milieu du Peuple la solution qui lui appartiendra.
Où pourra-t-on prendre connaissance de cette plateforme ?
RépondreSupprimerMa réponse à Gérard :
RépondreSupprimer- Nulle part puisque ma proposition n'intéresse pas Catoneo ni ceux auxquels j'ai eu affaire.
Chacun tirera de son côté comme d'habitude, et j'ai eu une pensée pour le temps perdu par certains royalistes qui réclamaient union et concertation. Devant la tombe de leurs espérances mortes, je tire une salve.
Je me contenterai de faire avancer ma formule sur mon blog. Je ne veux pas faire de plateforme en l'air, car son contenu ne peut servir qu'à trouver une entente entre royalistes. Le message à fair epasser au public est différent, je m'y emploie par ailleurs, en sachant et ceci est bon pour les uns comme pour les autres, qu'il convient de rester en phase avec une actualité générale plus mouvante que jamais.
Pas compris votre "nulle part". mais c'est votre problème !
RépondreSupprimerDruide a un blogue qui s'appelle Renaissance carolingienne.
RépondreSupprimerTout un programme.
Merci, Catoneo.
RépondreSupprimerJ'ai écrit une réponse hier à Gérard, qui n'a pas été enregistrée car j'étais sur un réseau fonctionnant mal. Je disais d'ailleurs la même chose que dans le précédent message.
L'intérêt d'une proposition de ma part n'existe que si elle s'exprime à travers des intervenants comme Catoneo, pour la bonne raison qu'ils se trouvent à la croisée des chapelles anciennement existantes, et aussi parce que son rôle de locomotive devrait pouvoir l'amener à multiplier les chances en faveur de la monarchie.
C'est pourquoi j'envisage peu de me consacrer à un effort de concertation s'il ne se trouve pas des royalistes intéressés autrement que par curiosité. Mes tentatives sur VLR n'avaient pas eu de répondant. D'ailleurs des participants qui auraient pu soit me soutenir soit abonder dans certaines directions ont pour des raisons que je ne connais pas été classées parmi les invités.
POur le blog, il était en lien au-dessus, je ne l'ai donc pas mentionné.
Je ne crois pas possible de ramener des royalistes classiques vers ma position
Peut-être devriez-vous articuler les principes fondant votre réflexion en une offre politique directe, et laisser sa personnalisation pour plus tard.
RépondreSupprimerLe site Renaissance Carolingienne est un bon support pour dérouler cette offre et exemplifier ses particularités.