samedi 20 novembre 2010

Assises royalistes... ce que nous en ferons

Le Groupe de Liaison Royaliste peaufine son programme pour les Assises printanières à venir. Après un débat qui s'est déroulé sur le forum de SYLM pour savoir de quoi il retournait depuis tout ce temps où l'on parle d'Assises, un communiqué est annoncé par un responsable du GLR, qui sera édité en décembre si tout va bien, par les Manants du Roi, organe officiel du groupe. On espère que la "convocation" sera la plus large possible, sans exclusive, jusqu'aux sensibilités légitimistes et providentialistes, et que les royalistes inorganisés seront nombreux à venir - ils sont et de loin les plus nombreux !
Il sera utile à tous les intervenants que l'enquête produite par SYLM à ses frais, L'Etat des Lieux du Royalisme en France, soit versée au débat dès le départ afin d'ancrer les discussions dans les réalités présentes. On peut espérer aussi que nous ferons l'économie de conférences "historicisantes" - grande spécialité d'un microcosme à rétroviseurs - c'est le futur devant le pare-brise, la vie, qui nous inquiète, la Chronique de la Maison des Morts pourra attendre un peu. On lira avec profit le communiqué de SYLM du 6 novembre 2010 (pour ceux qui ont le code).

Si les Assises concluaient à une queue de trajectoire commune, quels que soient voies et moyens d'y parvenir, le mouvement royaliste aurait fait un pas en avant historique. Nous ne nous entendrons jamais sur ces voies et moyens - il y en a tant -, mais nous pouvons converger sur un PPCD (plus petit commun dénominateur) qui pourrait être à mon sens le retour d'un roi dans le domaine régalien, investi d'un, de deux, trois, quatre ou cinq pouvoirs du dit-domaine. Le type de régime d'habillage importe moins que le but ultime, et chacun promouvra le meilleur, tout en respectant la "solution" d'autrui dès lors qu'elle converge. Comme avait-dit Anna de Noailles à propos du Martégal : «Qu’importe que l’on diffère d’opinion sur les hommes, les événements, les idées, si l’on est d’accord sur les dieux».

C'est un peu comme la sphère bouddhique. La bouddhéité est cachée au centre de la sphère et chaque point d'entrée à l'extérieur de l'enveloppe est légitime si l'on décide de ne suivre que le rayon droit qui va au centre. Il est réputé inutile de sauter d'un point à l'autre sur la sphère, il faut entrer. D'où la signification de "pagode" dans le lexique bouddhique comme "lieu de passage" (way place ou Stargate :)

Un roi dans le domaine régalien ne choquerait pas le vulgum pecus, littéralement abruti par les délires du culte démocratique de la personnalité. Michel de Poncins a sorti un article remarquable (entre autres tout autant remarquables) sur la vacance du pouvoir, qui devrait être affiché comme un dazibao sur la porte des mairies ! Suffit-il de démontrer ces délires en évitant au début de prononcer le mot tabou ? La farce démocratique ?  Il y a une thématique à créer pour ramener le bois flotté de la démocratie en faillite, nos concitoyens, vers la rive royaliste. Cette thématique active serait plus utile que les rouspétances éternelles qui n'intéressent plus personne au-delà d'un cercle de ronchons.
Elle consiste à adapter le discours à notre époque, prendre en compte les connotations défavorables, se couper du passif - sorry, le Maréchal n'est pas vendeur - , et à enchasser les principes moteurs du royalisme dans la société multiculturelle française d'aujourd'hui. Cela fait beaucoup de mises à jour à créer, car les penseurs de jadis sont trop souvent inassimilables par les lecteurs ou les auditeurs de maintenant.
Il faut donc créer. En attendant que nos penseurs de demain éditent la nouvelle doctrine, quel est-il ce domaine régalien ? Quel est le niveau d'implication attendu du chef permanent de l'Etat ?

(A) Il y a cinq pouvoirs régaliens dont quatre sont aujourd'hui disponibles :
- Justice haute
- Armées
- Police nationale
- Diplomatie

Le cinquième est de battre monnaie.

(B) L'implication du chef permanent de l'Etat est simple à définir : il nomme les présidents des cours et tout ou partie des ministres "régaliens", et il s'arroge le droit de remontrance et de veto. Il ne s'implique jamais dans les affaires courantes pour préserver sa dignité, son statut de référence au dessus de la mêlée partisane et celui de juge du dernier ressort.
Reste à mettre l'équation en image avant de décider l'opinion à laisser passer le roi. Le schéma politique de l'Alliance Royale est le seul qui ait osé faire cela. A mon avis il est trop compliqué mais c'est une base unique en son genre.

La création de cette image du pouvoir suprême doit tenir compte des tabous en vigueur, ce que le GLR appelle "la réalité que constituent nos concitoyens". Mais c'est à partir de là que les divergences de notre bord prennent des proportions insurmontables. Du régime théocratique des ultrabrites du légitimisme incandescent à la souveraineté gaullo-marxiste de la NAR, rien n'est miscible, tout est groupusculaire, frôlant le ridicule. En plus, la petite forêt des théories s'est pétrifiée, faute d'exploitation concrète. Moins a-t'on de monde à convaincre, plus raide est l'intransigence.

Une solution hunnique serait d'éradiquer les sources d'émission de ces divergences, c'est-à-dire les chapelles créées par la parthénogenèse des grosses têtes, chapelles qui ne représentent plus qu'elles-mêmes, à ce que nous montre le sondage préalable de SYLM, et que confirment les effectifs¹ squelettiques réunis aux diverses universités d'été et dans bien des manifestations "limitées" à cinquante - c'est magique ce chiffre indépassable.
Un projet monarchique minimum commun serait alors proposé aux fidèles inorganisés, sans passer par le crible des pharisiens qui n'y chercheront que le diable, et la concrétisation de leur assentiment serait recherché dans une cotisation à une structure constituante neuve chargée d'encaisser, et d'aboutir sur une construction de structure permanente oecuménique abritant les outils de communication du projet précité.

Maintenant la question à dix dollars taïwanais : celle que pose immédiatement l'Opinion convoquée à bader notre génie naturel de physique sociale : qui est le prince ?
Si je chausse les lunettes de l'Opinion, je ne vois personne, hormis pour certains lecteurs de Point de Vue l'éternel prétendant d'Orléans qui meuble de péripéties familiales l'ennui de sa "fonction". Les Assises 2011 du royalisme français ne trancheront pas la question dynastique car la Querelle est un moteur puissant pour faire tourner les chapelles. Eradiquez l'orléanisme et Orléans, et les chapelles légitimistes s'abîmeront dans les psaumes de la Transcendance et de la Révélation jusqu'à disparaître de la scène publique par l'attrition naturelle de ses cotisants. Retirez le Bourbon franquiste de l'échiquier virtuel et les gaullo-marxistes bien en cour - on comprend pourquoi dans notre beau pays soviétisé - prendront tout l'espace AF derrière le "prince rouge" revenu (hilarant). Gaz !

Les efforts (toujours méritoires) qui suivront la première session des Assises pourraient rester donc vains, car s'ils aboutissent même à une pacification du territoire royco, la sacralisation du préciput d'aînesse demeurera et les revendications concurrentes resteront appuyées sur des arguties d'autant plus intouchables qu'elles seront moins fondées. Chacun creusera un peu plus sa tranchée, et l'Alliance Royale, qui veut zapper le choix dynastique au motif de ratisser plus large sur les seuls principes, se brisera sur cette question préalable. Elle a miné la pré-campagne présidentielle de Yves-Marie Adeline, avant qu'il ne déraille sur les parrainages.

La Querelle pourrit tout.
Mais une monarchie "dogmatique", portée uniquement par ses principes, sans visage et donc sans affect, n'a jamais existé nulle part. C'est le régime le plus personnalisé qui soit, carrément voué au culte de la personnalité, ce qui soulève de bien difficiles questions de la part des sceptiques non abonnés à nos revues. Toutes les dynasties françaises ont été créées par l'ambition d'un homme ou d'une famille capable de gouverner, en position d'accéder à l'instant T et y réussissant. A l'inverse des Républiques, aucune dynastie ne fut numérotée, elles n'étaient pas portées par un dogme immanent qui les aurait laissées se succéder au fil des accidents de l'Histoire, puisqu'on ajustait les Lois² à chaque rupture. De Mérovée à Capet, elles portent toutes le nom de leur fondateur. Le roi tire le char ou disparaît. Le scalp de Childéric III, la décapitation de Louis XVI, la berline de Gand et le cortège de Cherbourg, sont là pour nous en faire souvenir. Un chef, des fidèles. Aujourd'hui c'est pareil.

Bien que le principe prime le prince et se suffise à lui-même selon le "dogme", le prince qui a l'ambition d'accéder doit avoir une attitude volontaire, une créativité innée et l'autorité naturelle pour la faire aboutir. Il doit être un homme de demain sinon même d'après-demain. C'est du moins le minimum syndical pour les premier et deuxième accédants (les suivants pourront être moins "doués"). Avis sans frais à leurs thuriféraires, les "observateurs" du temps qui passe n'auront pas d'avenir dans le nouveau métier de roi, moins encore que les prosateurs inlassables de leur autobiographie. C'est un volontaire et pas un velléitaire qui sera convoqué, un athlète politique, pas un Chambord.

Les Assises du royalisme français se tiendront donc au printemps 2011, si tout va bien. Il faut saluer la persévérance des organisateurs, le Groupe de Liaison Royaliste, les Manants du Roi, la CMI/SYLM et quelques autres plus discrets. Elles seront ce que nous en ferons. N'anticipons pas les travaux qui s'y tiendront, mais au niveau individuel déjà nous pouvons dire que, même en notre absence physique, si nous traduisons dans notre comportement quotidien de royaliste les recommandations auxquelles elles auront abouti, la situation du mouvement s'améliorera par capillarité. Pour nous mettre chacun dans l'axe d'une aimantation commune, il ne faudra pas attendre la fusion des chapelles, trop d'ego, trop d'histoires, pas non plus que les princes arrangent leurs affaires, ce qui ferait un bien fou à la Cause. Convergeons simplement vers un roi et quel que soit le résultat de ce consensus, nous pourrons chacun nous dire, j'ai fait de mon mieux, c'est ma part du succès, ou bien, j'ai fait de mon mieux, cet échec me dépasse.

Reste l'in cauda.
Nous avons gardé l'important pour la fin. Les royalistes ne feront de pas décisif vers la notoriété que s'ils assument les aspects triviaux de la politique au quotidien. Il n'est pas de propagande aboutie sans moyens préalables, de gros moyens. On ne fait rien avec cent cotisations et la quête du dimanche ! D'où le choix d'illustration de ce billet fait de huit nouvelles pièces régionales de 10 euros en argent massif !
Tout projet politique d'envergure nationale convoque beaucoup d'argent à sa réalisation. A titre d'exemple, les budgets des sites de réinformation comme Médiapart, Bakchich ou Rue89³ sont des affaires à plusieurs centaines de milliers d'euros. Leur audience est large, efficace et progresse. Faire plus petit ne sert qu'à faire reluire les idées entre soi. Nous le savons tous mais nous faisons l'autruche par respect pour les vieux chefs, par lâcheté un peu aussi, par pingrerie. Quelle que soit l'affection que l'on porte aux chapelles du royalisme, il faut convenir que leur modèle scout (...la bite et le couteau) est obsolète et ne produira jamais plus de fruits, si tant est qu'il ait beaucoup fleuri un jour.

Ou bien le mouvement royaliste mobilise les fonds nécessaires à sa propagande - c'est un objectif autour d'un million d'euros pour démarrer quelque chose qui se voit - ou bien nous nous replions vers la commémoration, l'exemple donné aux tiers de nos moeurs impeccables, une fierté gratuite, la qualité de nos relations ducales ou comtales, une orthographe irréprochable et la diction pointue de reconnaissance à la nuit tombée sous le chèche et le loden, en entretenant la mémoire enjolivée d'un âge d'or disparu, quelque sorte de religion civile avec son clergé, son droit canon, voire des cercles pleureurs endogames et cooptés. C'est bien aussi, pour le quatrième âge, mais il faudra cesser d'embrigader la jeunesse dans un petit projet impossible, car on lui fait perdre son temps, elle qui a tant à préparer de bagage et de courage pour des lendemains qui ne chanteront pas.
Donnerez-vous une pièce, deux pièces, cinq pièces... ?
(à suivre).
Note (1): A ce que nous montrent photos et comptes-rendus, les universités d'été n'ont aucune réuni plus de 50 personnes à un moment donné, ce qui est très faible rapporté à la "ressource" trouvée par le sondage SYLM. Mais si l'on sait que le Bloc Zids n'a fait que 75 campeurs à la Ti-Breizh, on peut arguer que le vecteur UDT est désuet au plan quantitatif.
Note (2): Lois fondamentales du royaume qui régissent la permanence de l'autorité.
Note (3): On trouvera sur ce lien quelques indications sur le modèle économique de Rue89, qui va sortir son mensuel en kiosque bientôt.

Une faute d'orthographe, de grammaire, une erreur à signaler ? Contactez le piéton du roi à l'adresse donnée en bas de page et proposez votre correction en indiquant le titre ou l'url du billet incriminé. Si l'article vous a plu ou déplu, vous pouvez le faire suivre à un ami en cliquant sur la petite enveloppe ci-dessous :

20 commentaires:

  1. Ca fait du bien de voir ce blogue bouger sur le problème des Assises arlésiennes, depuis le temps qu'on nous en parle.
    Merci Cato.

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  2. Le GLR est d'essence orléaniste puisque Gérard Leclerc est un fondateur de la Nar. Je doute beaucoup qu'il invite les légitimistes intégraux de l'UCLF.
    Mais on verra.
    Merci de cette relance.

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  3. Les manants du Roy avait communiqué sur un site spécial Assises où serait posté toutes les infos.
    Avez-vous l'url du site s'il est monté ?
    Salut.

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  4. Non, je ne crois pas qu'il soit prêt. Peut-être bientôt car ils ont l'habitude des sites internet.

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  5. Pas vu les naudorffistes dans votre pré-convocation.
    C'est intentionnel ?

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  6. C'est un oubli. Mais je crois bien que cette branche est éteinte de par les "résultats" ADN que la famille garde par devers elle.
    Je n'ai pas d'informations de ce côté.

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  7. Fort bien, mais...Le général Franco m'inspire de la reconnaissance pour avoir vaincu la révolution en Espagne. Néanmoins, l'expression "le Bourbon franquiste" ne me semble pas très rassembleuse.

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  8. C'est bien cela entre autres qu'il faut surmonter. L'appréciation que le prince Louis fait de son arrière-grand-père cadre avec l'empathie historique de l'AF à l'endroit de la révolution franquiste de sauvegarde de la civilisation traditionnelle, alors que symétriquement, la fibre sociale(iste) du prince Jean, petit-fils du Prince Rouge, heurte les condamnations maurrassiennes poursuivies aujourd'hui par deux chapelles orléanistes sur trois.
    Il y a du travail ! :)

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  9. Un million d'euros ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval à moins d'avoir le fer dans sa poche ! A moins qu'il y ait anguille sous roche...

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  10. L'appel de fonds mesure la motivation.

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  11. Un million ? facile si, comme le dit notre anonyme, la motivation est là. Mais pour encourager la motivation de tous il faut que l'outil présenté soit professionnel et performant. Donc on doit reprendre un système qui a déjà fait ses preuves. Les exemples abondent. Ensuite, le million... ? Chaque maison princière impliquée dans un futur royaliste met cent mille. Chaque chapelle ayant l'ambition de survivre met cent mille (il y a des banques...;) Reste cent mille à lever par souscription auprès des royalistes inorganisés, ce n'est pas la mer à boire. Il ne suffit que de donner envie !
    (détail de l'assiette par MP :)

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  12. Je viens de découvrir votre billet qui vaut déjà de l'or !
    Je crois que vous n'avez oublié aucune pièce dans les fonds de tiroir !
    Sans aucune vile flatterie, vous venez d'ouvrir une voie royale au communiqué du GLR, qui ne devrait plus tarder à être publié, après ce tir au canon auquel il n'y a rien à retrancher !

    Merci au passage pour vos tranches d'humour qui ont dû faire siffler quelques oreilles !

    De quoi rendre jaloux de tant de talent le fou du Roi Louis XVII !...

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  13. Merci Charles.
    Mais je n'ai à ouvrir aucune voie, encore moins royale, au Groupe de liaison royaliste qui a maintenant la balle au pied.
    Le projet que j'esquisse dans ce billet est ambitieux, mais je suis profondément convaincu que le temps des petites structures de propagande cooptées est révolu. C'est sans doute une perte pour la camaraderie, mais la situation exige une professionnalisation de l'action politique qui passe par des outils modernes, les plus puissants possibles, adaptés à la taille de l'audience nécessaire. Défendre sa ville et defendre sa nation ne convoque pas les mêmes moyens.
    La "pierre de touche" sera dans le volet financier, comme toujours.

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  14. Dix-sept mille mercis à vous, Catoneo !

    Les assises royalistes du printemps 2011 auront donc à leur ordre du jour :

    comment ouvrir le " volet financier " pour prouver qu'on aime " la Maison France " ?

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  15. ".... des royalistes inorganisés!" (je vous cite)

    Eh oui, nombreux sont ceux qui se trouvent isolés....

    Le fond du probleme est la!

    L'alternative militante est souvent d'adherer à un mouvement "retroviseur" (je vous cite encore) ou à un organisme scout ("...la bite et le couteau")

    On serait nombreux à enfin avoir l'occasion de participer quelque chose de concret.

    Pas gagné, mais jouable!!!!

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  16. C'est bien une des questions à poser au printemps.
    Le temps libre est variable pour chacun mais limité. Quand on voit la proportion commémorative des activités canoniales, on comprend que l'avenir pèse peu dans l'esprit des responsables. Sans projet palpable, pas de recrutement. C'est humain.

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  17. Quelques ... cellules ... autour de Royal Artillerie, permettraient-elles de lutter contre l'isolement ou la griserie des activités canoniales et commémoratives ?

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  18. COMMUNIQUE DU GLR

    Le Groupe de Liaison Royaliste organise les 18 et 19 juin 2011,
    dans les salles de l’USIC, 18 rue de Varenne, 75007 Paris des RENCONTRES sur le thème :

    «POURQUOI AIMER LA FRANCE ? LES ROYALISTES PRENNENT LA PAROLE»

    Ouvertes à tous les Français désireux d’en finir avec le discours «décliniste», elles seront l’occasion de rencontrer de nombreux invités lors de conférences et de tables rondes, avec participation du public, autour des thèmes suivants :

    1)LES ATOUTS DE LA FRANCE : bilan et prospective
    2)POUR UNE POLITIQUE DURABLE : MONARCHIE ET DÉMOCRATIE DIRECTE
    3)QUESTION SOCIALE : L’INÉGALITÉ PROTECTRICE

    Un site dédié permettra dans les prochains jours, à chacun de s’inscrire, de connaître les modalités pratiques et de suivre en direct l’évolution du projet.

    Pour le groupe de Liaison royaliste,
    Blandine Dejouy
    Marc VandeSande
    Axel Tisserand

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  19. Le GLR a ouvert le site dédié aux Rencontres Royalistes :

    http://rencontresroyalistes.fr/

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  20. Le projet est maintenant enterré faute de temps, d'argent et de motivation.

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