dimanche 4 novembre 2012

La Bella Venezolana


La duchesse d'Anjou est désormais française.
Nous sommes honorés.



Communiqué de l'Institut Duc d'Anjou

D'origine vénézuélienne, la Princesse Marie-Marguerite avait demandé la nationalité française en raison de son mariage avec un Français, au titre de l'article 21-2 du code civil. Il faut rappeler à ceux qui ne le sauraient pas encore, que Monseigneur le Duc d'Anjou est Français de naissance par filiation, tout comme ses trois enfants : la princesse Eugénie, 5 ans, et les jumeaux, âgés de 2 ans, le prince Louis, duc de Bourgogne, et le prince Alphonse, duc de Berry.
Avec la Princesse Marie-Marguerite, c'est désormais toute la famille royale de France qui possède la nationalité française au regard des lois actuellement en vigueur.
Le Prince et la Princesse démontrent, par cette démarche fortement symbolique, leur attachement à la France et leur engagement auprès de leurs 65 millions de compatriotes vivant en France, comme aux deux millions de Français formant la communauté française expatriée à travers le monde.
(IDA - 2.11.2012)


Enchantés ravis, nous sommes, d'une "recrue" de qualité pour notre nation qui en a bien besoin. La princesse Marie-Marguerite a montré bien plus que sa beauté, son attachement au prince Louis de Bourbon et à la mission que l'avenir lui confierait. Née Vargas Santaella, elle est la fille du banquier Victor Vargas Irauquín, Banco Occidental de Descuento, un des premiers établissements de la place, proche du pouvoir chaviste (!).
Mariée en 2004 à Louis-Alphonse de Bourbon qu'elle avait rencontré à la noce de sa soeur aînée, elle lui a donné trois beaux enfants. Il n'est qu'à souhaiter de les voir souvent en France.


Vive le roi, la reine, la dauphine et les petits dauphins

10 commentaires:

  1. Il ne reste plus au prince qu'à perdre son terrible accent espagnol, et tout ira bien...

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  2. Qu'à cela ne tienne, si l'accent du prince de Bourbon n'est pas "terrible" on ira chercher celui de son épouse.
    Cet argument est passablement usé, d'autant que les dernières épouses des princes d'Orléans sont l'une lusitanienne, l'autre austro-hispanique.
    Les princes ont inventé l'Europe bien avant Maurice Schumann.

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    1. Okay, mais on ne va pas y passer la nuit :)
      Je trouve la duchesse d'Anjou distinguée, retenue et assumant le "job" avec grâce, malgré quelques soucis de santé que j'ai entraperçus dans quelques reportages de Hola!
      C'est très bien qu'elle soit devenue française, d'autant que ses enfants l'étaient déjà.

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  3. Bon le père est banquier...et s'il ne compose pas avec le régime en place il peut plier bagage...Pour bien connapître les personnes et la question du Vénézuela il ne faut pas tirer des conclusions hatives!

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    1. "Conclusions hâtives" ? Où ça dans cet articulet ?

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  4. Si vous ne lui trouvez pas d'accent, c'est sans doute que vous manquez un peu d'oreille...Mais comment lui en vouloir: Son père était espagnol ( et lorsqu'il officiait au Comité Olympique, il avait d'ailleurs pris position pour la candidature de Barcelone contre...Paris) et sa mère était née Franco.

    Et pour ce qui concerne les "princes d'Orléans", qu'on me permette de rappeler qu'ils sont Bourbons avant d'être Orléans. La république ne s'y est pas trompée en les frappant de la loi d'Exil qui n'a jamais concerné les princes espagnols .Il est vrai qu'à l'époque, seule l'Espagne intéressait ces derniers. Non! la France.Non! l'Espagne.Non!... Ah! je m'y perds...Il faut dire qu'ils ont tellement renoncé à l'un et l'autre de ces 2 royaumes que l'on ne sait plus où ils sont.

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    1. Ne lancez pas la Querelle dynastique à propos de la naturalisation de la duchesse d'Anjou. C'est ridicule.

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    2. En droit naturel, on peut hériter d'un assassin mais il n'hérite pas de sa victime. Orléans a tué Bourbon, puis l'a volé deux fois ! La République ne s'y est pas trompée qui a interdit à Orléans de changer son patronyme en "Bourbon-Orléans", ce qui au passage, par l'ordre choisi des deux noms, soulignait la position de la maison cadette.

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    3. On va sans doute en rester là.
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