C'est un article que j'aurais aimé ne jamais écrire mais il faut dire stop ! Le site de François Davin, La Faute à Rousseau (clic), nous apprend que le comte de Paris assigne la Fondation Saint-Louis pour un million d'euros. Ignorant les termes exacts de l'assignation, je n'en discuterai pas la praticité, mais connaissant en revanche tenants et aboutissants de la relation conflictuelle entretenue par les parties depuis l'emménagement du prince à Dreux, je produis les éléments d'une supplique à cesser ! Au nom de Dieu, de saint Eloi, de saint Harpagon, arrêtez, Monseigneur, de brasser l'argent d'autrui ! Travaillez pour le vôtre !
La Fondation Saint-Louis fut montée par Henri l'Ancien (†1999) sur le socle de la Société civile de la Forêt de Dreux, créée après la loi d'exil de 1886 par les D'Orléans pour protéger et gérer en indivision la succession immobilière de Louis-Philippe Ier et par la suite la fortune du duc d'Aumale. Après les dilapidations récurrentes d'icelui pour financer à grand train une prétendance inaboutie qui le plongera dans les eaux noires de la vindication - il cherchera à ruiner ses enfants -, un sursaut d'orgueil du vieux prince épargnera les gros morceaux situés en métropole comme le château d'Amboise et le domaine de Dreux principalement, avec les archives de la Maison de France. Une fondation est une structure accueillant des biens inaliénables qu'elle affecte à une œuvre d’intérêt général à but non lucratif. Elle est régie par le droit écrit (voir le Dalloz) et non par la coutume. Nous ne sommes pas en Angleterre. Mais c'est à la coutume que se réfère le prince Jean en dénonçant une déviation par le conseil d'administration de la Fondation Saint-Louis des "intentions" originelles de son grand-père et surtout, à l'oubli de préséance à son endroit, chef de maison, prétendant au trône et héritier direct du fondateur dans l'ordre de primogéniture mâle ! Il veut gouverner la fondation. Hélas ! Tout fut fait par Henri l'Ancien pour que sa descendance, impécunieuse par habitude plus que par inclination, ne puisse vivre sur ce patrimoine en le monétisant voire le mettre à l'encan. Avait-il raison de se méfier ? Bien sûr que oui, toutes les ventes aux enchères d'objets du patrimoine royal de la famille ont prouvé que la situation des uns et des autres ne permettait pas d'oublier ces valeurs au fond des tiroirs de chacun, valeurs qui ne méritaient sans doute pas d'être transmises à leur propre descendance. Il fallait encaisser !
S'ajoute à cette revendication patrimoniale, le droit d'usage de la maison Philidor** du domaine de Dreux concédé verbalement à Marie-Thérèse de Wurtemberg par Henri l'Ancien, pour qu'elle y vienne aérer sa nombreuse progéniture les week-ends d'été et pendant les vacances scolaires, depuis que son mari, le père de Jean, avait abandonné le domicile conjugal de Paris pour rejoindre l'amour de sa vie. Le petit-fils dit avoir hérité du droit d'usage. C'est très curieux d'aboutir mentalement à cette conviction, d'abord parce que la bénéficiaire de ce droit est toujours de ce monde et qu'il est surprenant de plaider en France aucun droit sans titre. A-t-il de mauvais conseils ?
Dans l'article de La Faute à Rousseau (repris du journal Le Parisien d'ailleurs) il est cité une réaction du père de Jean, Henri l'Artiste (†2019), qui recadre l'usage de cette maison en ces termes : « J’apprends que tu emménages à Dreux. Si ta mère a eu un droit d’usage sur le presbytère sa vie durant, ce droit ne s’applique pas à nos enfants. J’aurais préféré que ce soit toi qui m’informes de tes intentions de vive voix.» Et le même de morigéner son fils pour qu'il déménage illico presto. Je passe sur les démêlées qui s'en suivirent entre la famille occupant sans titre les lieux dans toute leur extension et la fondation propriétaire légal. Elle oubliera de remplir la cuve à fuel domestique et le prince en montrera une forte irritation jusqu'à prendre à témoin publiquement ses sympathisants... mais de quoi ? D'une négligence, d'un affront ? La dispute ne cessa de prendre des tours dans des chicayas minables jusqu'au départ précipité de la famille dans le sud-ouest l'an dernier (dixit la comtesse de Paris Philomena) pour protéger les enfants de la turbidité du marigot drouaisien. Entretemps, le prince a trouvé une amie à la mairie, qui monte régulièrement à la "maison" pour faire tourner le compteur électrique et tirer la chasse. Finalement c'est triste et malheureusement dans l'ADN de la famille : quand on n'a pas d'argent, on n'en gagne pas, on en cherche !
Après le décès d'Henri l'Ancien, sa veuve Isabelle avait, sur ses biens propres, légué à son petit-fils aîné une belle forêt au Nouvion-en-Thiérache, où d'ailleurs les dernières propriétés de Madame ont été vendues récemment par les héritiers. L'intention de feue la comtesse de Paris était plus de le poser socialement que de lui donner un moyen de subsistance ; les forêts rapportent peu mais sont le plus sûr conservateur de capitaux à long terme, auxquels peuvent s'adosser par exemple des garanties d'emprunt... Bref ! Ne travaillant plus, il s'en fit le gérant (?!), puis vendit la forêt pour vivre. Il y a une "énigme Jean d'Orléans". Après de longues études en France et aux Etats-Unis, il a travaillé comme consultant (donc en libéral) chez Lazard, chez Deloitte et à la Banque populaire, sans parvenir à se fixer ; puis vinrent les années sabbatiques qui durèrent jusqu'à un siège d'administrateur à la Fondation Lejeune, position qui ne rapporte que des jetons de présence outre l'hostilité de certains courants sociaux, mais qui n'est toujours pas un métier. Plus dérangeant, lors de la succession d'Henri l'Ancien, ses oncles et tantes attaquèrent les dispositions testamentaires, la gouvernante Friesz et la Fondation Saint-Louis pour captation d'héritage. Jean d'Orléans s'en désolidarisa et signa un solde de tout compte pour signifier qu'il se satisfaisait du peu. Mais quand la hoirie gagna plus tard son procès, il revint sur son abandon et réclama sa part.
Difficile d'en vouloir à Jean d'Orléans, traumatisé par la séparation de ses parents et par le conflit ouvert entre son père et son grand-père dans lequel ce dernier l'enrôla en 1984 en éliminant son père de la succession dynastique pour le nommer dauphin. Cette jeunesse compliquée et défavorable à la construction psychique d'un jeune homme a fini par le détourner d'une carrière honorable dans la haute banque au profit de la chimère royaliste qu'il poursuivit, qui pis est dans une concurrence malsaine avec son propre père qui chevauchait la sienne ! On vit les partis royalistes se ranger derrière l'un ou l'autre, et s'agrégèrent à chacun des prébendiers en attente, des courtisans de rencontre, venus compenser à leur contact une vie fade. Par bonheur, dès le jour de la mort de son père, le prince Jean interrompit les nominations aux ordres de fantaisie qu'adorait le défunt jusqu'au plus loin du ridicule, amenant à Saint-Germain-l'Auxerrois des chevaliers en armure polie-miroir pour la messe annuelle de Louis XVI. Si l'on n'en vit aucun aux funérailles de Dreux, il y vint du beau monde*** pour réconforter la famille en deuil et le nouveau comte de Paris spécialement.
Jean d'Orléans s'est donné à fond dans plusieurs essais de communication, donnant des conférences plutôt courues en province, organisant l'association Gens de France pour faire masse. Mais ce qui aurait dû être le prolongement d'une carrière professionnelle réussie est devenu la carrière elle-même, dans la précarité que l'on sait en pareilles aventures. Comme disait une fois le duc de Séville à propos de la prise d'intérêt d'Henri l'Artiste sur l'Ordre de Saint Lazare, y nommant grand-maître son neveu Charles-Philippe : « il faut souvent sortir des sous, beaucoup, et je ne vois pas un jeune homme impécunieux s'y maintenir longtemps !» De fait, ce fut court ! Pas d'argent, pas de Suisses ! Quand on n'a pas d'héritage, il faut le construire, à défaut, en épouser un comme s'y résolut le grand-maître !
La vraie question que doit se poser un royaliste à l'annonce de l'assignation de la Fondation Saint-Louis est un doute : le prince Jean est-il encore dans les lices du tournoi ? Ayant des difficultés à accumuler et gérer un patrimoine, en commençant tout simplement par travailler, peut-il défendre la cause monarchiste en s'y impliquant comme prétendant s'il ne coche pas au moins les cases managériales ? On est en 2021, sire ! Quelle prise son apparente oisiveté donne-t-elle à nos adversaires ? Est-il conscient du décalage entre la vie désuète de rentier qu'il affiche publiquement et la vie active de ses concitoyens, surtout de ceux qui sont à la peine dans une société où la concurrence fait rage ? Est-il audible ? Sa situation personnelle atténue la portée de ses prises de parole souvent pertinentes.
En attendant les réponses, nous insisterons à chaque occasion pour que les enfants du comte de Paris soient incités à faire des études et éduqués à la valeur "travail" qui est une obligation morale, sociale et religieuse, afin de couper le fil de l'oisiveté qui peut ruiner une réputation. Et l'expérience des dévoiements antérieurs aidant, souhaitons que Gaston ne soit pas dirigé vers un lycée agricole parce qu'il aime les animaux, comme le fut son grand-oncle François (†1960), mis en pension chez les Oratoriens de Pontoise avant d'être jeté chez les Frères des Ecoles chrétiennes de Beauvais pour devenir technicien agricole. Il serait "utile" qu'il fasse de vraies études dans les sciences exactes pour gagner une position sociale au mérite, s'il veut un jour prétendre conduire le mouvement monarchiste au succès, parce que c'est de cela qu'il s'agit. Le dauphin montre beaucoup de qualités qui annoncent des lendemains qui chantent et seront donc joyeux, ce serait si dommage qu'il les gâche. Haut les cœurs !
La Fondation Saint-Louis fut montée par Henri l'Ancien (†1999) sur le socle de la Société civile de la Forêt de Dreux, créée après la loi d'exil de 1886 par les D'Orléans pour protéger et gérer en indivision la succession immobilière de Louis-Philippe Ier et par la suite la fortune du duc d'Aumale. Après les dilapidations récurrentes d'icelui pour financer à grand train une prétendance inaboutie qui le plongera dans les eaux noires de la vindication - il cherchera à ruiner ses enfants -, un sursaut d'orgueil du vieux prince épargnera les gros morceaux situés en métropole comme le château d'Amboise et le domaine de Dreux principalement, avec les archives de la Maison de France. Une fondation est une structure accueillant des biens inaliénables qu'elle affecte à une œuvre d’intérêt général à but non lucratif. Elle est régie par le droit écrit (voir le Dalloz) et non par la coutume. Nous ne sommes pas en Angleterre. Mais c'est à la coutume que se réfère le prince Jean en dénonçant une déviation par le conseil d'administration de la Fondation Saint-Louis des "intentions" originelles de son grand-père et surtout, à l'oubli de préséance à son endroit, chef de maison, prétendant au trône et héritier direct du fondateur dans l'ordre de primogéniture mâle ! Il veut gouverner la fondation. Hélas ! Tout fut fait par Henri l'Ancien pour que sa descendance, impécunieuse par habitude plus que par inclination, ne puisse vivre sur ce patrimoine en le monétisant voire le mettre à l'encan. Avait-il raison de se méfier ? Bien sûr que oui, toutes les ventes aux enchères d'objets du patrimoine royal de la famille ont prouvé que la situation des uns et des autres ne permettait pas d'oublier ces valeurs au fond des tiroirs de chacun, valeurs qui ne méritaient sans doute pas d'être transmises à leur propre descendance. Il fallait encaisser !
S'ajoute à cette revendication patrimoniale, le droit d'usage de la maison Philidor** du domaine de Dreux concédé verbalement à Marie-Thérèse de Wurtemberg par Henri l'Ancien, pour qu'elle y vienne aérer sa nombreuse progéniture les week-ends d'été et pendant les vacances scolaires, depuis que son mari, le père de Jean, avait abandonné le domicile conjugal de Paris pour rejoindre l'amour de sa vie. Le petit-fils dit avoir hérité du droit d'usage. C'est très curieux d'aboutir mentalement à cette conviction, d'abord parce que la bénéficiaire de ce droit est toujours de ce monde et qu'il est surprenant de plaider en France aucun droit sans titre. A-t-il de mauvais conseils ?
** du nom d'une famille de musiciens de cour qui y vécut
Dans l'article de La Faute à Rousseau (repris du journal Le Parisien d'ailleurs) il est cité une réaction du père de Jean, Henri l'Artiste (†2019), qui recadre l'usage de cette maison en ces termes : « J’apprends que tu emménages à Dreux. Si ta mère a eu un droit d’usage sur le presbytère sa vie durant, ce droit ne s’applique pas à nos enfants. J’aurais préféré que ce soit toi qui m’informes de tes intentions de vive voix.» Et le même de morigéner son fils pour qu'il déménage illico presto. Je passe sur les démêlées qui s'en suivirent entre la famille occupant sans titre les lieux dans toute leur extension et la fondation propriétaire légal. Elle oubliera de remplir la cuve à fuel domestique et le prince en montrera une forte irritation jusqu'à prendre à témoin publiquement ses sympathisants... mais de quoi ? D'une négligence, d'un affront ? La dispute ne cessa de prendre des tours dans des chicayas minables jusqu'au départ précipité de la famille dans le sud-ouest l'an dernier (dixit la comtesse de Paris Philomena) pour protéger les enfants de la turbidité du marigot drouaisien. Entretemps, le prince a trouvé une amie à la mairie, qui monte régulièrement à la "maison" pour faire tourner le compteur électrique et tirer la chasse. Finalement c'est triste et malheureusement dans l'ADN de la famille : quand on n'a pas d'argent, on n'en gagne pas, on en cherche !
Après le décès d'Henri l'Ancien, sa veuve Isabelle avait, sur ses biens propres, légué à son petit-fils aîné une belle forêt au Nouvion-en-Thiérache, où d'ailleurs les dernières propriétés de Madame ont été vendues récemment par les héritiers. L'intention de feue la comtesse de Paris était plus de le poser socialement que de lui donner un moyen de subsistance ; les forêts rapportent peu mais sont le plus sûr conservateur de capitaux à long terme, auxquels peuvent s'adosser par exemple des garanties d'emprunt... Bref ! Ne travaillant plus, il s'en fit le gérant (?!), puis vendit la forêt pour vivre. Il y a une "énigme Jean d'Orléans". Après de longues études en France et aux Etats-Unis, il a travaillé comme consultant (donc en libéral) chez Lazard, chez Deloitte et à la Banque populaire, sans parvenir à se fixer ; puis vinrent les années sabbatiques qui durèrent jusqu'à un siège d'administrateur à la Fondation Lejeune, position qui ne rapporte que des jetons de présence outre l'hostilité de certains courants sociaux, mais qui n'est toujours pas un métier. Plus dérangeant, lors de la succession d'Henri l'Ancien, ses oncles et tantes attaquèrent les dispositions testamentaires, la gouvernante Friesz et la Fondation Saint-Louis pour captation d'héritage. Jean d'Orléans s'en désolidarisa et signa un solde de tout compte pour signifier qu'il se satisfaisait du peu. Mais quand la hoirie gagna plus tard son procès, il revint sur son abandon et réclama sa part.
Difficile d'en vouloir à Jean d'Orléans, traumatisé par la séparation de ses parents et par le conflit ouvert entre son père et son grand-père dans lequel ce dernier l'enrôla en 1984 en éliminant son père de la succession dynastique pour le nommer dauphin. Cette jeunesse compliquée et défavorable à la construction psychique d'un jeune homme a fini par le détourner d'une carrière honorable dans la haute banque au profit de la chimère royaliste qu'il poursuivit, qui pis est dans une concurrence malsaine avec son propre père qui chevauchait la sienne ! On vit les partis royalistes se ranger derrière l'un ou l'autre, et s'agrégèrent à chacun des prébendiers en attente, des courtisans de rencontre, venus compenser à leur contact une vie fade. Par bonheur, dès le jour de la mort de son père, le prince Jean interrompit les nominations aux ordres de fantaisie qu'adorait le défunt jusqu'au plus loin du ridicule, amenant à Saint-Germain-l'Auxerrois des chevaliers en armure polie-miroir pour la messe annuelle de Louis XVI. Si l'on n'en vit aucun aux funérailles de Dreux, il y vint du beau monde*** pour réconforter la famille en deuil et le nouveau comte de Paris spécialement.
*** le prince Albert II de Monaco, la reine Sophie d’Espagne, l’impératrice Farah d'Iran, le prince héritier du Maroc Moulay El Hassan, le prince et la princesse Philipp de Liechtenstein, la princesse Guillaume de Luxembourg, la princesse Léa de Belgique, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie, les archiducs Karl et Georg d’Autriche, le grand-duc Georges de Russie, le prince Leka d’Albanie, le prince héritier d’Égypte Mohamed Ali Fouad et son épouse, le duc et la duchesse de Castro, Sixte-Henri de Bourbon-Parme, Carlos de Bourbon-Parme, Maria Pia de Savoie…(source Point de Vue)
Jean d'Orléans s'est donné à fond dans plusieurs essais de communication, donnant des conférences plutôt courues en province, organisant l'association Gens de France pour faire masse. Mais ce qui aurait dû être le prolongement d'une carrière professionnelle réussie est devenu la carrière elle-même, dans la précarité que l'on sait en pareilles aventures. Comme disait une fois le duc de Séville à propos de la prise d'intérêt d'Henri l'Artiste sur l'Ordre de Saint Lazare, y nommant grand-maître son neveu Charles-Philippe : « il faut souvent sortir des sous, beaucoup, et je ne vois pas un jeune homme impécunieux s'y maintenir longtemps !» De fait, ce fut court ! Pas d'argent, pas de Suisses ! Quand on n'a pas d'héritage, il faut le construire, à défaut, en épouser un comme s'y résolut le grand-maître !
La vraie question que doit se poser un royaliste à l'annonce de l'assignation de la Fondation Saint-Louis est un doute : le prince Jean est-il encore dans les lices du tournoi ? Ayant des difficultés à accumuler et gérer un patrimoine, en commençant tout simplement par travailler, peut-il défendre la cause monarchiste en s'y impliquant comme prétendant s'il ne coche pas au moins les cases managériales ? On est en 2021, sire ! Quelle prise son apparente oisiveté donne-t-elle à nos adversaires ? Est-il conscient du décalage entre la vie désuète de rentier qu'il affiche publiquement et la vie active de ses concitoyens, surtout de ceux qui sont à la peine dans une société où la concurrence fait rage ? Est-il audible ? Sa situation personnelle atténue la portée de ses prises de parole souvent pertinentes.
En attendant les réponses, nous insisterons à chaque occasion pour que les enfants du comte de Paris soient incités à faire des études et éduqués à la valeur "travail" qui est une obligation morale, sociale et religieuse, afin de couper le fil de l'oisiveté qui peut ruiner une réputation. Et l'expérience des dévoiements antérieurs aidant, souhaitons que Gaston ne soit pas dirigé vers un lycée agricole parce qu'il aime les animaux, comme le fut son grand-oncle François (†1960), mis en pension chez les Oratoriens de Pontoise avant d'être jeté chez les Frères des Ecoles chrétiennes de Beauvais pour devenir technicien agricole. Il serait "utile" qu'il fasse de vraies études dans les sciences exactes pour gagner une position sociale au mérite, s'il veut un jour prétendre conduire le mouvement monarchiste au succès, parce que c'est de cela qu'il s'agit. Le dauphin montre beaucoup de qualités qui annoncent des lendemains qui chantent et seront donc joyeux, ce serait si dommage qu'il les gâche. Haut les cœurs !
Si Monsieur Catoneo le permet, il est difficile de suivre ce nouveau "scandale d'Orléans" sans suivre le fil de commentaires inscrits sur Noblesse et Royauté. Il s'en dégage pour le moment un gros doute sur les chances de succès de l'assignation à 1 million d'euros, sans parler des héritiers présomptifs des biens "séquestrés" par la fondation St Louis, toute la fratrie d'Henri VI et leurs descendants qui réclameront leur part :
RépondreSupprimerhttp://www.noblesseetroyautes.com/le-comte-de-paris-assigne-la-fondation-saint-louis-en-justice/#comments
Si Monsieur Catoneo le permet et René aussi, je voudrais dire que noblesse&royautés n'est pas une références et ses commentaires encore moins... Ils proviennent de ceux qui ont encouragé tous les déboires récents de la maison d'Orléans, et parmi eux des membres du conseil du défunt Henri fils... et de ses soutiens.
SupprimerLes éléments de l'affaire ont été traités sur le site où nous sommes.
Arnaud, on ne peut aller plus loin sans avoir lu les statuts de la Fondation Saint-Louis que le prince Jean se refuse apparemment à publier. Invoquer "la lettre et l'esprit" des statuts que l'on cache n'est pas très encourageant pour les soutiens du prince.
SupprimerNoblesse & R. est un site du Gotha comme il y en a d'autres. Il en a les défauts et les qualités.
Rapport d'étape d'Ivan Roullet sur l'affaire de la Fondation Saint-Louis dans La Nouvelle République de Tours, édition du 21 février 2021 : " C’est une affaire qui n’en finit pas, telle une guerre de trente ans, avec ses escarmouches, ses accalmies, ses luttes intestines, ses héritages et ses mercenaires..." et pour la suite on peut cliquer ici.
RépondreSupprimer