Ce billet n'a rien à voir avec la fête nationale de Jeanne d'Arc qui se célèbre le deuxième dimanche de mai en souvenir de la libération d'Orléans. Et pourtant, il s'agit de ces femmes qui en ont assez et parfois plus, que bien des hommes pour défendre nos valeurs françaises, constamment attaquées par les aliens maléfiques que nous avons laissé entrer dans la cohue des réfugiés venus ici survivre en paix et travailler.
Contre le multiculturalisme, la haine du pays d'accueil qu'il provoque parfois, et pour l'assimilation active des entrants, elles sauvent l'honneur de la nation en y cherchant le meilleur de "nous-mêmes" pour le faire fructifier dans une terre que l'insouciance des normateurs, l'imbécilité des élites cosmopolites, mais surtout la paresse d'un peuple décadent ont asséchée. Certaines proviennent du vieil empire, du moins leurs familles en furent, elles nous rendent au centuple le grain levé de la semence coloniale. Toutes filles du Livre, elles sont devenues la lance aiguisée d'un combat civilisationnel contre la terre plate, la barbarie en barbe drue, la crasse morale et la haine sur l'étendard noir !
Contre quoi se battent-elles à notre place ? Contre le dynamitage des bouddhas de Bâmiyân et celui du temple Baalshamin de Palmyre. En ces deux lieux tout fut dit par les perpétrateurs. Nous, nous n'avons fait que nous en plaindre, analysé les circonstances, déploré leurs effets. Il n'y a rien à comprendre, rien à expliquer. Incinération ! Dieu reconnaîtra les siens.
On fait une pause avec Mlle Sanaa Mohamed, menacée de mort pour avoir chanté "J'en ai marre" avec l'israélien Marziano, juif émigré du Maroc, dans le cadre du rapprochement israélo-arabe en cours qui défonce toute la rhétorique de haine islamiste :
Le train des hussardes de la république a trois wagons
(leurs origines ne sont pas toujours leur lieu de naissance)Le premier est celui des Sultanes qui tiennent la dragée haute aux soldats de l'obscurantisme et ridiculisent leurs seigneurs et maîtres :
- Sonia Mabrouck (Tunis) journaliste (Panthéon-Sorbonne) commande sur CNews et Europe 1
- Zineb el Rhazoui (Casablanca) journaliste (EHESS), elle est de tous les coups et nobélisable
- Rebecca Fitoussi (Colombes) journaliste (DEA, Institut français de presse) sur LCI et Public Sénat
- Claire Koç (Anatolie) journaliste (ESJ Montpellier) s'écoute sur France Info
- Fatiha Agag-Boudjahlat (Montbéliard) professeur d'histoire-géographie en REP, chroniqueuse à La Dépêche du Midi
- Lydia Guirous (Tizi Hibel) porte-parole LR (Dauphine, ESCP)
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Le deuxième wagon est celui des Ouvreuses qui ont montré la voie, avec trop de talents pour ne pas déplaire un jour (ma préférence est pour la quatrième). Elles bénéficient d'une aura d'autorité pour en avoir plus vu que beaucoup de leurs collègues qui se pensent avisés :
- Rama Yade (Dakar) directrice "Afrique" à l'Atlantic Council
- Rachida Dati (Casablanca) maire du 7è arrondissement de Paris
- Jeannette Bougrab (Ouleid Deid) maître des requêtes au Conseil d'État, avocate
- Fadela Amara (Kabylie) inspectrice générale des Affaires sociales, ancienne responsable de NPNS
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Le troisième est celui des Gauloises, dans le sillon des Jeanne-Hachette (Beauvais), Catarina Segurana (Nice) ou Olympe de Gouges dans un autre rôle, qui sont plus qu'un renfort. Outre leur concours précieux au féminisme identitaire qui s'affirme dans la lutte à la Bêtise, elles dévient les attaques contre les premières qui seraient facilement cernées par la misogynie exotique des groupes "arabo-musulmans" en chasse ! Elles augmentent la meute et compliquent l'attaque. Accessoirement, elles fracassent le gauchisme de renoncement, le centrisme mou, le gaullisme d'eau tiède. :
- Gabrielle Cluzel (Villefranche de Rouergue) rédactrice en chef chez Boulevard Voltaire
- Charlotte d'Ornellas (Orléans) journaliste (Institut français de journalisme) sur CNews et TV Liberté
- Eugénie Bastié (Toulouse) journaliste (Sciences Po) sur CNews entre autres
- Julie Graziani (Saint-Cloud) chroniqueuse (HEC, agrégation) sur BFM-TV ou LCI
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S'y ajoutent la génération montante des Némésis comme Floriane Jeannin, Estelle RedPill, Alice Cordier, Thonia, Virginie Vota, Thaïs d'Escufon, Jeanne Leclerc et Domitille Faure mises en cause, belles et fachos, par le magazine Elle et qui ripostent de bonne humeur à la bienpensance socialiste en col Mao laine et soie sur L'Incorrect.
Pendant de longues années, l'opinion fut fabriquée par une cinquantaine d'éditorialistes à la remorque des Duhamel, Elkabbach, pratiquement tous parisiens, avec le concours autorisé de rares consœurs faites au moule de la profession et pétées de thunes, qui rêvaient des salons littéraires de la haute époque comme Françoise Giroud (Constantinople-Lausanne), Anne Sinclair (New York), Christine Ockrent (Bruxelles), Catherine Nay (Tours), Arlette Chabot (Chartres) ou Ruth Elkrief (Meknès). Mais les clients de la presse audio-visuelle ont vite préféré la viande fraîche des nouvelles insolentes qui ne demandaient plus à la gérontocratie la permission de faire de l'audience et carrière. Et comme fait exprès, elles ont surgi le plus souvent à droite ! Normal, y gît la vérité, le bon sens et l'esprit français ! C'est ce bataillon de hussardes sur lequel nous pouvons compter car elles cassent les codes qui servent à l'infiltration de nos adversaires. Quand elles parlent de leur déclassement au sein de civilisations archaïques, elles, on les croit ! Elles ont marché sur les braises de la servitude à cause de leur sexe, et c'est une expérience qui glace toute contestation sur place. Les hommes doivent se contenter en imagination.
Bel hommage!
RépondreSupprimerJe ne sais pas dans quelle catégorie placer Latifa Ibn Ziaten, arrivée en France à 17 ans pour rejoindre un mari cheminot. Mère du militaire assassiné en 2012 par Mohamed Merah, elle va, inlassablement depuis, enseigner la paix dans les écoles et collèges. Peut-être est-elle, à sa façon, une Sultane.
Dans la catégorie "Gauloises", je citerais Caroline Fourest et Natacha Polony.
Caroline Fourest serait plutôt une "ouvreuse". Elle a commencé dans le féminisme de combat dans les années 90 avec Fiammetta Venner. Journaux et éditeurs ont pris leur prose, jusqu'à ce qu'elles comprennent que l'ennemi des femmes n'était pas chez les églises chrétiennes mais dans l'islam importé. Et là, commença le combat pied à pied contre les Frères, leurs affidés, leurs idiots utiles.
SupprimerNatacha Polony est sortie de la tranchée en 2000 chez Laurent Ruquier. Elle se bat pour le bon sens et les valeurs françaises, et il y a du travail ! C'est une "gauloise" dans cet article. Son seul défaut, c'est Périco Légasse :)
Latifa Ibn Ziaten gère le deuil de son fils de manière active. Elle est admirable d'abnégation et de courage, mais elle ne fait pas d'audience comme les autres. Ce qui ne veut pas qu'elle ne soit pas indispensable dans sa pédagogie itinérante, surtout face à de jeunes enfants qui sont plus compassionnels que les ados et qui se souviendront de l'avoir écoutée.
Salut.
RépondreSupprimerJe verrais bien Linda Kebbab en sultane.
Sortie de Vaux-en-Velin de parents algériens modestes, elle s'est hissée sur l'estrade médiatique avec beaucoup de talents. Elle est jolie en plus.
https://www.programme-tv.net/biographie/417507-kebbab-linda/
René
Linda Kebbab prend bien la lumière sur un visage lisse et avenant. Mais au-delà de l'image, son parcours tout en tenacité et son discours articulé, qui passe bien dans l'opinion, en font une vraie "sultane".
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