mardi 19 octobre 2021

Faut-il le dire ?

La laïcité en action n'ouvre pas la libre pratique de l'insulte ou du blasphème ad hominem. On ne peut tout se permettre au principe de laïcité, moins encore blesser autrui dans son âme profonde. Cela participe du vivre ensemble le plus ordinaire, et ce ne fut pas toujours le cas dans le passé lointain de cette nation éveillée à l'esprit le plus fin que le monde entier lui enviait, jadis. Mais il y a un "mais".

Il est extrêmement difficile dans un cerveau d'adolescent de partager l'émoi d'une foi s'il existe, et la négation d'icelle par autrui en même temps. C'est ce que promeut la laïcité à la française qu'aucun pays n'a jamais appliquée parce qu'elle est un ferment de désordre social et n'est en rien fondée sur les aspirations de l'humain. Monsieur Paty avait bien du courage de passer la planche de cette galère ! Qu'Alan Goa berce son âme sur son croissant de lune !
Quand le droit des Etats retient la laïcité pour séparer sociétés civile et religieuse dans le gouvernement des citoyens, l'Encyclopédie philosophique universelle la taxe de "construction intellectuelle" permettant de barrer les clercs des affaires de l'Etat. Ce concept, sorti des désordres mentaux de la franc-maçonnerie, participe des nuées dont les princes sont nos vénérables, frères encrassés par la libre pensée de la déesse Raison. Finalement c'est très daté et ça sent la feutrine humide des convents. La laïcité telle que la définit avec une difficulté immense notre régime, s'avère être un emplâtre corrosif sur un membre sain. Plutôt que de protéger, elle pourrit qui se l'applique. Il suffit d'ouvrir les yeux, la "construction" est toujours en travaux ! Un peu comme le mariage des curés qui fut à l'affiche de tous les conciles toujours.

gravure 1905

Depuis que les discours publics des églises historiques ont été relégués aux chambres voûtées de décompression mentale, et interdits d'expression au-dehors, on a vu se coucher bas et haut clergé de toute obédience devant les interdits (et les baïonnettes). Jusqu'à ce qu'arrive la tête haute et d'un pas assuré la religion totalitaire qui régente les croyances et codifie les mœurs d'un même élan. Et comme de bien entendu, ces nouveaux sectateurs prirent d'assaut rues et trottoirs pour affirmer leur foi aux yeux de tous les mécréants. Que leur a-t-on reproché ? Rien de la part des pouvoirs publics, nid de couards à tout motif même électoral. Après les lois de déchirage social dites de Séparation, on a finit par donner la clef des rues à l'islam ! Malgré les avertissements envoyés depuis les pays musulmans par ceux qui y subissent le joug des imams, mollahs et oulémas, avertissements vite étouffés par la presse infiltrée, nul n'a pris la mesure du danger naissant. Paranoïa, fantasmes, néo-fascisme néanderthalien ! On sait la suite. Les caricatures danoises du Prophète levèrent des hordes "spontanées" hystérisées par l'insulte, dont la colère ne pouvait s'étancher que dans le sang. On en revient toujours au sang. Les religions sémitiques pataugent dans le sang, c'est leur marque.

Il y avait eu en 1986 l'attentat du Hezbollah rue de Rennes à Paris, en 1989 l'appel au meurtre de Salman Rushdi par l'ayatollah Khomeini, en 1993 l'attentat du World Trade Center de New-York, puis la séquence algérienne de 1995 à Paris, la bombe de Port-Royal en 1996, des centaines d'attaques islamistes partout ailleurs. Le siècle nouveau s'ouvrait sur les attaques aériennes du Onze Septembre à New-York, puis la prise d'otages meurtrière du théâtre Doubrovka de Moscou en 2002, celle pas meilleure de Beslan en Russie en 2004, l'assassinat en Hollande de Theo van Gogh la même année, attentats au métro de Londres en 2005, la fusillade de Fort Hood au Texas en 2009, le kamikaze de l'aéroport de Domodedovo à Moscou en 2011, les tueries de Mehrah à Toulouse et Montauban en 2012, etc. etc. pour s'en tenir qu'aux gros scores ; sans compter donc - qu'ils nous le pardonnent - une multitude d'attentats atroces sur tout le croissant vert, du Maroc à Bali et jusqu'en Chine ! L'islam ayant retrouvé son impatience conquérante a pris le sabre de ses étendards et mis le feu partout. Et le 7 janvier 2015, la rédaction de Charlie Hebdo est rafalée par les frères Kouachi ! La séquence continue à un train d'enfer... en 2016 l'ambassadeur russe à Ankara, vingt-deux morts au concert d'Ariana Grande à Manchester en 2017, huit morts au Pont de Londres, Maurane et Laura égorgées à la gare Saint-Charles de Marseille, le camion du 14 juillet à Nice... on ne sait plus où donner de la tête à couper. (source)

N'a-t-on rien vu venir ? Qui a pu croire une seconde qu'il possédait, lui, le totem d'immunité ? Il est une précaution naturelle de sauvegarde qui consiste à ne pas se moquer publiquement d'un primate féroce qui patrouille la nation qu'il hait en recherche de sa proie. Les islamistes nous haïssent. On leur a bourré le crâne, parfois dès l'enfance en famille, et cette haine est pavlovienne, irraisonnable, il n'y a pas de traitement non létal de cette bave rabique. Samuel Paty a été tué par un hominidé tchétchène après avoir rallumé la mèche lente de la caricature blasphématoire et ne s'être gardé d'aucune réaction. Aurait-il dû s'en méfier ? Oh oui ! Les caricaturistes de Charlie Hebdo tout pareil, qui sont morts avant lui... en pure perte donc ! Les historiens de la fin du XXIè siècle auront de quoi méditer sur la niaiserie des élites de notre temps, qui, du sang jusqu'aux chevilles, ont cru le reste protégé par le rempart de la laïcité ! Cette "valeur" de la République aura finalement fait beaucoup de morts imbéciles et innocentes.

L'anniversaire de l'assassinat de Samuel Paty a été l'occasion d'en remettre une couche alors que tout le corps professoral se sent abandonné et désarmé devant le blasphème laïque au sein de classes en inquisition. Rien n'a changé depuis la décapitation de Conflans-Sainte-Honorine, nous disent-ils : ils sont seuls face à des populations hostiles où c'est l'élève qui fait le programme. Il suffirait, leur dit-on, de mieux enseigner cette p..... de laïcité ! Les pédagogues fous qui hantent le ministère savent-ils qu'elle est inenseignable au-delà de la première ligne de la définition du Petit Larousse ? Et les politiciens qui se cachent derrière elle en sont-ils informés ? Le peuple, lui, est au courant qui met le concept à la benne et réclame des candidats à la présidentielle la force avant la persuasion. Soixante-dix pour cent n'ont que faire de la "valeur laïcité" ; ils veulent foutre dehors les menaces, pas plus ! Sera-t-il suffisant de voter ? J'en doute !

Ambition de conclusion


Le régime ne peut séparer les sociétés civile et religieuse tout en agravant l'intrusion des hommes de l'Etat dans tous les compartiments de l'intimité humaine. La régulation (à l'est on disait "normalisation") des mœurs privées est à son comble dès lors que le pouvoir s'inquiète non tant de la manière d'être ou de l'expression écrite et orale de votre pensée que de ce que vous pensez vraiment au fond de vous-mêmes. La séparation de 1905 n'a pas que coupé le cordon ombilical entre l'Eglise et l'Etat, mais elle a fait place nette pour que ce dernier prenne toute sa place. Les directeurs de conscience d'alors, les éducateurs de la jeunesse ont été remplacés par les pédagogistes et les normateurs officiels du conformisme, déclinés en agences, hauts commissariats, fondations, observatoires, hauts conseils, comités, commissions et médiats stipendiés par le Trésor, qui vont parfois jusqu'au terrorisme moral, prélude à la terreur sèche de la pensée unique et approuvée. Il n'est pas surprenant que les convictions personnelles puissent déborder de la bulle privée puisqu'elle dérive au milieu de la grande bulle publique. Peut-on bannir l'expression religieuse dans la vêture, la coiffure, la gesture quand elle restent passives ? Où est la frontière entre les libertés publiques et les libertés individuelles ? Au seuil des maisons, sur le paillasson de Bienvenue ? La "construction intellectuelle" est en pleine déconnante qui provoque aujourd'hui une bataille...... des prénoms ! Que faire alors ? Je n'en sais rien, mais la seule certitude est son inanité. Demandez donc à ceux qui se ruent vers les charges publiques pour nous gouverner l'an prochain et revenez en cinquième semaine.

En attendant on peut relire le plaidoyer de Mickaleus pour une religion d'Etat (à la façon de tous nos voisins) en cliquant là.

11 commentaires:

  1. D'accord avec vous et avec ce Mickaelus, pour ne pas laisser prospérer l'islam il faut occuper son terrain. Mais que dire de plus avec, d'un autre côté, une perte de foi et des évêques qui se laissent convoquer chez le petit Fouché de Tourcoing, ministre prévenu de conduite inappropriée dans la distribution d'aides dans sa ville ?

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    1. Franchement j'ai tourné en tout sens la question et à part son confinement dans des lieux cultuels contrôlés, je ne vois aucune mesure capable de freiner l'islamisation, tant du moins que resteront ouvertes les portes.
      La religion d'Etat de Mickaelus peremet d'occuper officiellement le terrain. C'est mieux que rien, mais en l'état de capilotade des églises chrétiennes, je doute qu'elle suffise.
      Bonne fête, René.

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  2. Je vous rejoins sur la conclusion que le séparation de l’Église et de l’État a exclusivement profité à l’État. Le ralliement de Léon XIII était une connerie et marquait le début de la fin. Pour le reste, Paty est désormais présenté comme une victime de l’islamisme, presque un héros. C’était surtout un naïf sans doute gauchiste modéré si on s’en tient au timide soutien du Ministère du Conditionnement Educatif après sa fin fatale. Il n’avait pas compris que l’immense majorité des Musulmans n’a rien à cirer de la laïcité. Mais Paix à son âme...Mais imaginons un instant, une caricature de notre Seigneur au XII è siècle ; le coupable n’aurait-il pas été châtié comme il se doit ? On peut penser que des Croisés auraient réparé l’affront fait à Dieu avec la vigueur nécessaire. La justice du Roi aurait sans doute frappé aussi. Mais ce temps est révolu : l’Occident est un gigantesque mollusque échoué. Eh oui, les Musulmans se défendent ; les Catholiques quant à eux sont désormais des moutons, animal grégaire et inoffensif qu’on peut égorger à loisir. Qui a tort ? Qui a raison en fin compte ? Pour ma part, je ne suis pas certain que les Musulmans aient tous les torts. C’est peut-être nous qui ne nous respectons plus et, au final, ce manque de respect pour nous-mêmes salit le Très-Haut. Les Laïcs ont leurs principes et certains ont même une Mystique «  Religio Duplex ». Ce n’est pas mon problème ; qu’ils s’accommodent de leur pseudo-religion faite de bric et de broc et qu’ils ne s’occupent pas de celle des autres dont ils ne comprennent rien. Mais leur incroyable imbécillité et leur méchanceté rentrée leur interdisent cette distinction morale.

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    1. Samuel Paty est doublement victime ; du salafisme incandescent qui n'a plus aucune retenue en terre de mission, mais aussi et pour moi surtout, de sa hiérarchie, à commencer par son Principal, qui a littéralement mis le feu en abondant dans le sens du parent d'élève venu se plaindre, sans convoquer le professeur pour s'expliquer, lequel lui aurait appris tout de suite le mensonge de l'élève absente du cours.

      Ce que la République a perdu, c'est la Force. Elle s'irrite d'un rien et se couche à l'essentiel. Forte avec les faibles, couarde avec les forts. Tel qu'il est exercé en Europe occidentale, c'est un régime d'usurpation de l'intelligence.
      Pour le reste, il me revient l'histoire tragique du Chevalier de la Barre à Abbeville, tué au motif de blasphème public dans un procès inique duquel le roi détourna les yeux !

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  3. La laïcité m'indispose autant que l'islam. Que feront les Catholiques, les Juifs et les Protestants le jour ou un ministre du genre de Marlene Schiappa décrétera qu'affirmer que l'homosexualité est un pêché ou que l'homme et la femme ont des rôles bien distincts sont des infractions pénales incompatibles avec "les valeurs"? Aujourd'hui un lieux de culte doit être géré par deux associations. L'une cultuelle (Loi 1905), l'autre culturelle (Loi 1901). Devinez qui contrôle la comptabilité de ces associations, délivre les agréments et surtout qu'il n'y ait pas de porosité entre les deux ? Réponse le préfet. Que se passera t il le jour ou il décidera que le contenu du catéchisme ou de l’école du dimanche (instruction religieuse pour les enfants) n'est pas compatible avec les "principes" républicains? Lors de la discussion de la loi sur le séparatisme, la tentation fut grande de la part des parlementaire de mettre leur nez dans ce que l'on enseignait aux enfants. Laissez les faire et ils sont capables de ré-ecrire une Bible republicano-compatible, comme l'a fait la république populaire en Chine!

    Je ne vois pas non plus l’intérêt d'une religion d’État. les anglais en ont une et ça n’empêche pas leur société d’évoluer différemment des principes et commandements religieux prônés par l'anglicanisme. Pire, leur église se croit obliger de tordre le dogme pour "coller" à la société? Réduire la religion à un habillage culturel c'est manquer de respect envers le dieu que l'on est censé vénérer puisqu'on ne l'utilise que comme prétexte.

    Que l’état se contente de gérer l'ordre public ce qui est sa tâche avant de s'occuper de choses qui ne le regardent pas et toutes ces questions ne se poseront plus.

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    1. Une religion d'Etat n'est pas forcément subordonnée à l'Exécutif. Mais elle peut "bloquer" l'espace. L'Anglicanisme anglais est un cas spécial comme tout ce qui est autre-Manche. Il est devenu un moteur d'ascension sociale comme jadis chez nous les les Postes & Télécommunications ou les Contributions indirectes.
      Sans doute la formule en France devrait-elle être réinventée en fonction des pressions allogènes mais le défi le plus cruel est la déchristianisation accélérée de notre population, et je ne parle pas de la pratique publique mais de la conscience intime.
      La tendance d'une république démocratique est toujours de contrôler la pensée.

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  4. Effectivement vous touchez du doigt le fond du problème : la déchristianisation des sociétés occidentales. Ce problème est réel, les gens n'ont plus aucune connaissance "basique". Demandez donc à n'importe qui ce que représentent Pâques, Pentecôte ,l'Ascension ou l'Assomption et à part vous rétorquer que ce sont des jours fériés, l'immense majorité sera incapable de vous répondre....Je ne vous parle pas de dogmes comme la Transsubstantiation, la Prédestination ou la Trinité. Plus aucune transcendance. Le matérialisme et l'individualisme ont tout balayé. Les croyants se sont repliés en communautés. Finalement c'est ce que font les Juifs-avec succès- depuis la chute de Jérusalem en 586 av JC. Une religion d'état, c'est comme mettre du papier peint: sur un mur en béton brut., ça ne tient pas!

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  5. L'ermite du gave21 octobre 2021 à 12:49

    Je suis un ignorant en matière de religion. Cependant je suis content de vaquer à mes occupations dans un pays où il n'y a pas de religion officielle: les exemples donnés par les pays où il y a une religion "d'état" ne me semblent pas devoir être suivis, qu'il s'agisse des pays musulmans ou même des USA (dont les billets de banque, si recherchés, potent la mention "In God, we trust").
    Sauf, peut-être, certains pays d'Asie, qui cantonnent la religion à la sphère privée des individus.
    La laïcité française est une exception mondiale dont je suis assez content et qui, je l'espère, finira par gagner. Qu'elle soit mal présentée, mal expliquée, mal défendue, mal soutenue ne la condamne, à mon avis pas, au contraire: c'est le propre des idées extra-ordinaires d'être chahutées avant d'être reconnues et acceptées.
    Pour le reste, force est de constater que les guerres de conquêtes par la religion ont repris, avec des méthodes différentes mais des buts identiques.
    Pour marquer le triste anniversaire de l'odieux assassinat de Samuel Paty, pour défendre la laïcité, j'aurais, moi président, fait entrer celui-ci au Panthéon, en compagnie des journalistes de Charlie Hebdo.

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    1. Oui mais l'espace n'est pas occupé et erste à la merci du plus actif.
      Si l'on en croit L'Express : En Europe, le régime de religion d'Etat prévaut dans six pays : le Danemark (luthéranisme), la Finlande (luthéranisme), la Norvège (luthéranisme), la Grèce (orthodoxie), Angleterre (anglicanisme), Ecosse (presbytérianisme) et Malte (catholicisme).
      Quinze pays connaissent un régime concordataire : Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Portugal, Luxembourg, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, Slovaquie, Slovénie et France en Alsace-Moselle.
      Huit pays séparent les Eglises de l'Etat : Hongrie, Lettonie, Portugal, République tchèque, Slovaquie, Slovénie, Suède et France (la seule à constitutionnaliser la laïcité).
      Cas spécial : l'Eglise catholique espagnole bénéficient de privilèges légaux à côté d'un Etat non confessionnel.

      On voit que ce ne sont pas des théocraties comme l'Arabie séoudite ou la République islamique d'Iran... Ces pays doivent y trouver leur compte et le réglage socio-politique est certainement plus fin que chez nous, pays du tout ou rien ou presque rien ou juste un peu...

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    2. L'ermite du gave22 octobre 2021 à 21:37

      Huit pays, ce n'est pas si mal, c'est un bon début! Nous sommes les seuls, dites-vous, à prôner la laïcité au niveau de la constitution mais rien ne dit qu'une réflexion ne soit pas en cours ailleurs. Du moins, on peut l'espérer, sachant que les grandes idées (surtout les bonnes) mettent souvent très longtemps (parfois des siècles) à s'imposer, tant sont prédominants le manque d'analyse et de réflexion.

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    3. Ça part d'une intention louable pour séparer le chef du village des sorciers. Mais ça demande du doigté que malheureusement en France nous n'avons pas.
      La religion d'Etat simplifie la gestion de la société en éliminant plusieurs questions auquelles les pouvoirs publics ne savent pas répondre factuellement. Dans un pays gouvernés par la Loi du Nombre et les élections, le jeu des pouvoirs religieux allogènes est simplifié si l'espace social est à tout le monde. C'est l'histoire des ventres-casernes islamiques.

      L'autre dimension est le tropisme déiste de l'espèce humaine qui, partout sur la planète, s'invente un créateur. Cela vient-il d'un élément contenu dans la grande équation originale qui organisa l'ADN de l'univers ? J'en parle à mon einstein.

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