Bientôt trois cents jours de blitzkrieg soviétique sur l'Ukraine (ne pas s'esclaffer) ; les sols durcissent avec le gel ; les morts raides comme du bois ; les chenilles passent ; les affaires reprennent. La somme des considérants amassés par les observateurs spécialisés précipite au premier niveau de la misson des armées ukrainiennes le mot d'ordre permanent du 501ème régiment français de chars de combat : En Tuer ! De fait et vu les sondages extorqués à l'opinion russe par le FSB indécis, l'augmentation du coefficient de pertes russes sera sans doute le levier le plus efficace pour démoraliser les peuples de la Fédération de Russie, jusqu'à mettre en péril la dictature théocrato-mafieuse de la clique poutinienne. Même si le paradigme soviétique des "statistiques" (le nombre de morts en augmentant transforme les victimes en statistiques) est largement utilisé dans cette prétendue guerre patriotique "déclarée par l'Occident", l'entrée de la mort en masse dans les foyers peut être déterminante, d'autant plus que pas un pouce du territoire russe aux frontières internationales intactes n'est occupé par les "Nazis de Kiev". Merde alors !
Nul doute que l'état-major ukrainien, qui a montré jusqu'ici des ressources inépuisées d'ingéniosité, de résilience et de réactivité, n'ignore pas la pression psychologique insoutenable du retour en nombre des soldats morts pour rien, pour la gloire d'un déjà vieux lieutenant-colonel raté du KGB, capo di tutti capi devenu tyran malade ordinaire et sanglant. La seule parade trouvée jusqu'à maintenant par le FSB est l'incinération en décharge des soldats tombés au front - certainement des minorités ethniques - afin de contenir la statistique et l'effet induit sur les familles. Combien de temps le Russe de base continuera à absorber une propagande hystérique au son du soufflet de forge est un mystère, mais son endurance légendaire au malheur pourrait cette fois ne pas suffire à bloquer l'éclosion de vérités dérangeantes sur ce que font subir ses soldats aux petits frères kiévains et sur le vrai motif de tout ça.
Pendant ce temps, M. Macron tient à rassurer Vladimir Poutine en lui apportant des "garanties" (sic) dans le cadre d'un accord nouveau de sécurité européenne à débattre. Pas un pays de l'Est n'est prêt à croire que la Russie honorera sa signature cette fois et la démarche d'Emmanuel Macron ressortit au tropisme de l'humiliation qu'ils lui ont déjà reproché. Cette volonté de vouloir à tout prix faire partie du jeu diplomatique dans une affaire qui ne nous concerne que par solidarité intereuropéenne et atlantique et non pas directement, laisse entrevoir le cabotin derrière la moumoutte, qui cherche à tout prix les rappels à la fin de la pièce. Les pays réellement impliqués au quotidien dans ce conflit mené par les Etats-Unis pour durer, ne vont pas tarder à sortir notre fringant jeune homme de la chambre des opérations parce qu'il encombre et fait perdre du temps. Mais revenons pour le moment à la régulation des sauvages, comme les nomme Gérard Araud (ex-ambassadeur de France aux Etats-Unis).
Si les cibles "techniques" comme les nœuds routiers ou ferroviaires, les dépôts d'essence et de munitions que la nouvelle artillerie occidentale va permettre d'atteindre partout, sont primordiales pour casser l'Intendance russe, les concentrations d'effectifs, convois de troupes, centres de mobilisation et casernements sont à détruire d'urgence parce qu'ils participent plus directement à la guerre psychologique. La seule limite est l'interdiction d'emploi d'ogives à sous-munitions pour demeurer dans la sphère civilisée du monde libre. Mais les roquettes thermobariques ou les bombes au phosphore passent la Convention de Genève (ou d'Oslo) et les Russes les ont utilisées au début des hostilités après des essais en Syrie. Ces armes font du chiffre pour pas cher.
Il serait certes plus juste de viser particulièrement les Bouriates et les Tchétchènes recommandés par le pape François, mais il ne s'agit pas d'affiner à ce point la mission, d'autant que le sort de ceux-là n'inquiète en rien le gnome maléfique du Kremlin. On m'objectera l'inhumanité de toute éradication systématique de sauvages, à quoi je répondrais que la destruction vengeresse la plus complète possible d'un pays voisin qu'on ne parvient pas à capturer, avec son cortège d'horreurs et de crimes odieux, justifie un plan d'abattage d'hommes devenus bêtes et qu'à la fin, c'est au jugement dernier que sera dit le dernier mot. Qu'on en tue donc ! « Dieu reconnaîtra les siens » disait le légat pontifical à Béziers ! On me dit dans l'oreillette qu'on pourrait faire une station à La Haye sur le chemin de croix vers l'enfer, le vrai, le vrai néant, pas celui de Dante.
Nul doute que l'état-major ukrainien, qui a montré jusqu'ici des ressources inépuisées d'ingéniosité, de résilience et de réactivité, n'ignore pas la pression psychologique insoutenable du retour en nombre des soldats morts pour rien, pour la gloire d'un déjà vieux lieutenant-colonel raté du KGB, capo di tutti capi devenu tyran malade ordinaire et sanglant. La seule parade trouvée jusqu'à maintenant par le FSB est l'incinération en décharge des soldats tombés au front - certainement des minorités ethniques - afin de contenir la statistique et l'effet induit sur les familles. Combien de temps le Russe de base continuera à absorber une propagande hystérique au son du soufflet de forge est un mystère, mais son endurance légendaire au malheur pourrait cette fois ne pas suffire à bloquer l'éclosion de vérités dérangeantes sur ce que font subir ses soldats aux petits frères kiévains et sur le vrai motif de tout ça.
Pendant ce temps, M. Macron tient à rassurer Vladimir Poutine en lui apportant des "garanties" (sic) dans le cadre d'un accord nouveau de sécurité européenne à débattre. Pas un pays de l'Est n'est prêt à croire que la Russie honorera sa signature cette fois et la démarche d'Emmanuel Macron ressortit au tropisme de l'humiliation qu'ils lui ont déjà reproché. Cette volonté de vouloir à tout prix faire partie du jeu diplomatique dans une affaire qui ne nous concerne que par solidarité intereuropéenne et atlantique et non pas directement, laisse entrevoir le cabotin derrière la moumoutte, qui cherche à tout prix les rappels à la fin de la pièce. Les pays réellement impliqués au quotidien dans ce conflit mené par les Etats-Unis pour durer, ne vont pas tarder à sortir notre fringant jeune homme de la chambre des opérations parce qu'il encombre et fait perdre du temps. Mais revenons pour le moment à la régulation des sauvages, comme les nomme Gérard Araud (ex-ambassadeur de France aux Etats-Unis).
Si les cibles "techniques" comme les nœuds routiers ou ferroviaires, les dépôts d'essence et de munitions que la nouvelle artillerie occidentale va permettre d'atteindre partout, sont primordiales pour casser l'Intendance russe, les concentrations d'effectifs, convois de troupes, centres de mobilisation et casernements sont à détruire d'urgence parce qu'ils participent plus directement à la guerre psychologique. La seule limite est l'interdiction d'emploi d'ogives à sous-munitions pour demeurer dans la sphère civilisée du monde libre. Mais les roquettes thermobariques ou les bombes au phosphore passent la Convention de Genève (ou d'Oslo) et les Russes les ont utilisées au début des hostilités après des essais en Syrie. Ces armes font du chiffre pour pas cher.
Il serait certes plus juste de viser particulièrement les Bouriates et les Tchétchènes recommandés par le pape François, mais il ne s'agit pas d'affiner à ce point la mission, d'autant que le sort de ceux-là n'inquiète en rien le gnome maléfique du Kremlin. On m'objectera l'inhumanité de toute éradication systématique de sauvages, à quoi je répondrais que la destruction vengeresse la plus complète possible d'un pays voisin qu'on ne parvient pas à capturer, avec son cortège d'horreurs et de crimes odieux, justifie un plan d'abattage d'hommes devenus bêtes et qu'à la fin, c'est au jugement dernier que sera dit le dernier mot. Qu'on en tue donc ! « Dieu reconnaîtra les siens » disait le légat pontifical à Béziers ! On me dit dans l'oreillette qu'on pourrait faire une station à La Haye sur le chemin de croix vers l'enfer, le vrai, le vrai néant, pas celui de Dante.
La presse de ce matin où il est dit que trois aérodromes stratégiques russes ont été frappés par des missiles de croisière soviétiques à titre de représailles pour le bombardement systématique des installations énergétiques ukrainiennes : par exemple dans Le Monde.
RépondreSupprimerLégitime défense, pas plus, mais le compte est loin d'être bon.
On se refait un pont de Kertch ?
L'EM ukrainien a compris.
RépondreSupprimerIl cible des casernes russes en zone occupée. Les dégats sont importants :
https://en.defence-ua.com/events/panic_of_russians_in_melitopol_occupiers_showed_what_was_left_of_their_base_video-5116.html