La submersion de l'île de Lampédusa (↑) par des bateaux chargés de migrants noirs a réveillé le rayon "romans d'anticipation" où figure très visiblement Le Camp des saints de Jean Raspail. On s'y serait cru ! Jusqu'à Marion Maréchal qui a fait le voyage avant Ursula VDL pour toucher la réalité du doigt. Ce n'est pas non plus le port de Charleston, hein ?
Parler du défi migratoire que l'Europe devrait affronter convoque plusieurs angles d'analyse précédant des réponses raisonnées ; mais n'ayant pas reçu la mission de donner un cours magistral à l'assistance médusée, je me contenterai de prendre la question par nous-mêmes :
Que voulons-nous réellement à la fin ?
Il doit y avoir quatre "demandes" dans la conscience collective des Français. De la plus difficile à la plus facile à réaliser, on citera...
S'il semble évident que l'immigration doive se travailler en priorité au stade de l'émigration en intégrant aux efforts réciproques ce concept d'entropie des conditions d'existence qui annulerait la marche au mirage de peuples sous-éduqués (nombreuses références sur Royal-Artillerie par le mot-clé "entropie"), deux paramètres s'interposent qui bloquent ces efforts, d'une part la natalité non maîtrisable augmentée des ravages de la polygamie dans les sociétés les plus précarisées d'Afrique ; d'autre part la modification du paradigme environnemental qui, outre la stérilisation des écosystèmes, déclenche des catastrophes naturelles d'ampleur, annulant en peu de temps des années d'efforts. En résumé, la Transméditerranéenne a de "beaux" jours devant elle et les squales deviendront énormes ! On fait quoi dès lors ?
Pas vraiment de solution. Endiguer le torrent démographique serait un bon commencement. Etant tenu pour acquis qu'il n'y a pas de politique européenne en la matière, il serait avisé que les trois sœurs latines s'entendent entre elles, en dehors de toute ingérence bruxelloise, pour accorder leurs violons sur la régulation de l'immigration qu'elles subissent. Il ne peut s'agir que d'un faisceau de dispositions nombreuses et ciblées, moins tonitruantes que les proclamations de préaux électoraux, mais reconnues efficaces. Le reste est littérature. Des idées, il y en a donc beaucoup, mais on doit commencer par la promesse d'application des mesures retenues, et sans doute revoir les protocoles judiciaires et la maîtrise des frontières, ce qui ne veut pas dire de les fermer à la coréenne comme certains le crient. Problème à attendre maintenant d'une union latine ad hoc : M. Macron voudra absolument en prendre le leadership et, comme le disait Donald Trump, ça deviendra de la merde !
Des grands espaces vides et cultivables existent au nord, derrière l'Oural ; mais pas en Europe occidentale où il n'y a ...... que du travail !
Parler du défi migratoire que l'Europe devrait affronter convoque plusieurs angles d'analyse précédant des réponses raisonnées ; mais n'ayant pas reçu la mission de donner un cours magistral à l'assistance médusée, je me contenterai de prendre la question par nous-mêmes :
Que voulons-nous réellement à la fin ?
Il doit y avoir quatre "demandes" dans la conscience collective des Français. De la plus difficile à la plus facile à réaliser, on citera...
- 1.- Retrouver le village entre Gaulois.
- 2.- Calibrer l'immigration aux stricts besoins non comblés de l'économie française.
- 3.- Rester Français et vivre à la française en s'adaptant intelligemment aux contraintes.
- 4.- Ouvrir grand les portes du pays dans une démarche de charité universelle.
S'il semble évident que l'immigration doive se travailler en priorité au stade de l'émigration en intégrant aux efforts réciproques ce concept d'entropie des conditions d'existence qui annulerait la marche au mirage de peuples sous-éduqués (nombreuses références sur Royal-Artillerie par le mot-clé "entropie"), deux paramètres s'interposent qui bloquent ces efforts, d'une part la natalité non maîtrisable augmentée des ravages de la polygamie dans les sociétés les plus précarisées d'Afrique ; d'autre part la modification du paradigme environnemental qui, outre la stérilisation des écosystèmes, déclenche des catastrophes naturelles d'ampleur, annulant en peu de temps des années d'efforts. En résumé, la Transméditerranéenne a de "beaux" jours devant elle et les squales deviendront énormes ! On fait quoi dès lors ?
Pas vraiment de solution. Endiguer le torrent démographique serait un bon commencement. Etant tenu pour acquis qu'il n'y a pas de politique européenne en la matière, il serait avisé que les trois sœurs latines s'entendent entre elles, en dehors de toute ingérence bruxelloise, pour accorder leurs violons sur la régulation de l'immigration qu'elles subissent. Il ne peut s'agir que d'un faisceau de dispositions nombreuses et ciblées, moins tonitruantes que les proclamations de préaux électoraux, mais reconnues efficaces. Le reste est littérature. Des idées, il y en a donc beaucoup, mais on doit commencer par la promesse d'application des mesures retenues, et sans doute revoir les protocoles judiciaires et la maîtrise des frontières, ce qui ne veut pas dire de les fermer à la coréenne comme certains le crient. Problème à attendre maintenant d'une union latine ad hoc : M. Macron voudra absolument en prendre le leadership et, comme le disait Donald Trump, ça deviendra de la merde !
Des grands espaces vides et cultivables existent au nord, derrière l'Oural ; mais pas en Europe occidentale où il n'y a ...... que du travail !
Effectivement, comme vous le dites, je ne vois pas non plus de solution. En tout cas qui puisse faire consensus (puis qu'il est interdit de penser aux mines flottantes et autres drones d'attaque !). Hélas, pour ce qui est d'endiguer le torrent démographique (excellente idée en soi) et au stade où nous en sommes du sujet il vaudrait mieux parler de stérilisation des populations... Tout aussi impossible. Alors, la réflexion sur "les grands espaces vides et cultivables (qui) existent au nord, derrière l'Oural" serait sans doute la plus intéressante si elle ne revenait pas au début de nos interrogations et à la réelle maîtrise de nos frontières occidentales. Il faudrait en parler à Poutine ! Il connaît peut-être une solution à l'Ouroboros.
RépondreSupprimerPS : j'ai renvoyé les amateurs de la psilocybine à la dure réalité des choses... JYP
RépondreSupprimerRe hors-sujet :
SupprimerJ'ai vu, et la réponse du président-fondateur (comme dit Mamane sur RFi) nie la dérive en noyant le poisson dans l'eau bénite. Irrécupérable !
Ce ne sera pas faute d'avoir essayé.
les marines des 3 pays Espagne France et Italie se regroupent pour empêcher de rentrer ds les eaux territoriales les bateaux des ong ou des passeurs
RépondreSupprimerquite à tirer dessus
Il n'est pas né le commandant du navire qui va tirer sur des gens qui ont traversé le désert et franchi la mer pour du meilleur ou simplement sauver leur vie.
SupprimerFaudra le faire vous-même avec un équipage de chez Wagner.
Une première réponse est peut-être ici : https://www.valeursactuelles.com/monde/crise-migratoire-a-lampedusa-la-solution-du-blocus-naval
SupprimerDésolé, mais je ne lis pas ce que nous baille l'Apollon du Caire. Il n'a jamais tué personne.
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